Tout en conduisant, Jean-Louis caresse ma cuisse gainée de bas et remonte sa main jusqu’à mon entrejambe, d’un geste autoritaire il soulève ma jupe, ” Ecarte tes cuisses que je puisse te tripoter un peu ” me dit-il. J’obéis et j’écarte mes cuisse, sa main enserre mes couilles, il me les malaxe puis commence à jouer avec mon clito qui commence à durcir. Il ne va pas plus loin dans son tripotage car nous arrivons à la ferme, une jeune femme nous accueille, elle est plutôt vulgaire.
Je me dirige vers l’écurie tandis que Jean-Louis et cette pimbêche vont vers la grange à foin. J’enlève tous mes vêtements et me présente, nue comme un vers, à Mme Berthe qui est très occupée.
Les seins à l’air et une main sur sa chatte, la vieille suce la bite de son cheval, sa bouche est juste assez grande.
Puis elle daigne s’intéresser à moi.
J’obéis encore une fois et me voici en train de lui bouffer la chatte tandis qu’elle branle l’énorme pénis. C’est ensuite que les choses se compliquent, je comprends pourquoi je suis ici quand Mme Berthe m’ordonne de coller ma croupe contre cet engin.
J’écarte mes fesses autant que je peux pour faciliter la pénétration de ce truc énorme dans mes entrailles guidé par la main de la vieille peau, il finit par rentrer en m ‘arrachant un cri de douleur. J’obéis à ses ordres et je sens ce pieu continuer a s’enfoncer doucement dans mon cul, j’ai l’impression qu’il va exploser.
Je fais des mouvements de va et vient, encouragée par Mme Berthe et je commence à prendre du plaisir en sentant cette bite coulisser dans mes entrailles, j’aimerais que cela dure encore un peu mais l’étalon lâche ses flots de semence dans mon ventre que je sens se remplir. Mme Berthe retire la bite de mon cul et y enfonce immédiatement trois doigts pour servir de bouchon anal. ” Garde le un peu espèce de pute, je veux que tu le sentes bien dans ton ventre ” me dit-elle. Comment ne pas le sentir, je dois bien avoir un bon litre de foutre dans le cul !! Elle retire enfin ses doigts et j’évacue le sperme chevalin dans un long jet blanc. Elle me laisse partir et je me retrouve à l’entrée de l’écurie ou l’on m’attend.
Je montre ma chatte béante à la pimbêche et je vais sucer la bite de cette créature peu commode. Jean-Louis arrive juste au moment où elle décharge dans ma bouche. Je ramasse mes vêtements sans les mettre et je monte dans la voiture. Sur le chemin du retour, Jean-Louis m’apprend qu’il m’a aménagé une nouvelle pièce et qu’elle se trouve à la cave. Je ne suis pas impatiente de la découvrir.
A SUIVRE ……