De retour à la maison, une surprise m’attend. Jean-Louis a décidé que je lui appartiendrai définitivement et a fait appel à une jeune femme. Celle-ci tient un sac en cuir qui sent un peu le roussi. Jean-Louis me pousse contre un tabouret, m’écarte les jambes et enfonce une queue de cheval dans ma chatte tandis que la jeune femme sort du sac une sorte de bâton avec un fil électrique. J’attends sans bouger, me demandant ce qu’elle faisait puis je sens une odeur à la fois acre et chaude, Jean-Louis sort sa caméra et je m’inquiète un peu. J’avais raison de l’être ;-(
Je sens une chaleur intense s’approcher de mes fesses et je hurle de douleur en sentant le fer meurtrir ma chair. Une odeur de cochon grillé emplit la pièce.
Ultime humiliation, il venait de me marquer comme du bétail. Je reste comme ça, à la limite de l’évanouissement, la jeune femme débranche son fer et le pose sur un support pour qu’il refroidisse. Pendant ce temps, Jean-Louis paie la jeune femme et se fait sucer la bite en prime puis elle quitte l’appartement et je reste immobile avec ma douleur.
J’obéis et me dirige vers la cuisine, j’ai du mal à marcher. Quelques jours plus tard, la douleur a disparue, laissant place à un code barre humiliant en haut de ma cuisse. Jean-Louis est satisfait.
Le soir même, je prends le chemin du Quartier Putain, marquée comme une vulgaire marchandise. J’y rencontre d’autres gagneuses.
La nouvelle se répand comme une traînée…de poudre et je deviens vite l’attraction du mois.
Oui et alors ???!!! Les clients sont ravis, ils savent tout de suite à qui ils ont à faire et l’argent coule à flots dans les caisses. Le fait d’aller travailler, le cul nu et le clito à l’air, ne me dérangeait plus, à l’inverse de certaines personnes qui n’hésitent pas à me le faire savoir mais je m’en fiche.
Quand je ne fais pas la pute en camionnette, Jean-Louis m’envoie faire le trottoir ou bien il me loue par petite annonces a des client(e)s pour des prestations spéciales où a des maisons closes.
Je ne suis plus qu’une marchandise avec un code barre. Jean-Louis fait passer des casting pour élargir son cheptel de gagneuses et il les marque quand elles font l’affaire.
FIN.
Après un été passé à faire la putain itinérante sur les plages avec Jean-Louis dans son combi VW, il décide de continuer de me trimbaler sur les routes étant donné les gains d’argent plus importants que procure ce mode de ” travail “.
Cependant il décide d’acheter un modèle plus petit et surtout plus discret. Il me fait découvrir sa dernière acquisition sur un terrain vague réputé pour être un lieu de baise. Son confort me laisse sans voix.
Je m’avance vers le fourgon et je sens le regard de Jean-Louis sur mon cul.
Ce pervers n’attendait que ça, me voir à poil avec juste mes bas et mes bottes, ça l’excite. J’obéis et commence à me déshabiller.
Juste le temps de prendre la position de levrette avant l’arrivée du premier client.
j’atends, offerte à quatre pattes à l’arrière de la fourgonnette, l’homme se déshabille et se place devant moi à genoux, je devine ce qu’il va me demander, j’ouvre la bouche et commence à le sucer. ” Vas y salope, suce bien ma bite, je veux que tu la sentes bien au fond de ta gorge hummmm oui comme ça “, l’homme me prend la tête à deux mains et me baise la bouche, enfonçant sa bite jusqu’à la garde, ses poils pubiens viennent se coller contre mon nez, une odeur de pisse entre dans mes narines. Sa bite entre et sort de ma gorge de plus en plus vite, j’ai des hauts le cœur, prête à vomir, je bave abondamment puis il libère ma bouche pleine de bave, ” ça te plait ça hein ma salope, tu l’aimes bien ma bite ah ah ah !! Allez je vais voir si ton cul est aussi accueillant que ta bouche ” Il se place derrière moi, m’écarte les fesses, crache sur ma chatte et sur sa bite puis il l’enfonce violemment jusqu’à la garde, m’arrachant un cri de douleur sous le regard amusé de Jean-Louis, ” C’est bien sale pute, gueule plus fort ça m’excite !! “, chacun de ses puissants coups de reins me fait crier, j’ai l’impression d’avoir un manche de pioche dans le cul. C’est à se moment là qu’arrive Clara, une jeune pute de 31 ans et que Jean-Louis avait sortie de la panade une paire de fois.
Clara ne dit jamais non à Jean-Louis car elle sait bien que c’est grâce à lui si elle peut encore travailler. Elle lui fait donc une bonne pipe, avale son jus puis reprend son chemin tandis que l’homme soulage sa vessie dans mon ventre. Ceci étant fait, Jean-Louis décide de rester un peu, histoire de voir si le coin est rentable et c’est au tour de nos deux jeunes voisines, Laura et Lisa, de respectivement 19 et 20 ans, de faire leur apparition. On se demande bien ce qu’elles font dans un tel endroit mais je pense que Jean-Louis n’y est pas pour rien. A mon avis il a du leurs parler de cet endroit dans lequel on peut se faire facilement de l’argent et elles ont du vouloir vérifier.
Laura connaissait déjà Jean-Louis pour l’avoir rencontré un jour dans le parc dans lequel il aime bien se promener, à la recherche de jeunes recrues pour agrandir son cheptel de travailleuses.
Ce jour là, il ne tint pas sa parole et sodomisa Laura de force dans une vieille cabane pour finalement décharger dans son cul. Elle lui en voulut pendant plusieurs semaines puis finit par lui pardonner. C’est donc Lisa qui s’y colle à son tour dans la camionnette sans que Laura ne la mette en garde. La pauvre subit le même sort que Laura et se fit remplir le cul de sperme, elle gratifia Jean-Louis d’une bonne gifle, ” Salaud, t’avais promis !! “. Non Lisa, il t’avait dit qu’il ne garantissait rien, c’est différent lol !! Les deux futures putes repartirent, Jean-Louis s’était bien vidé les couilles et décida de partir mais un nouveau client se présenta à la dernière minute, je m’occupe de lui tandis que Jean-Louis se félicite d’avoir déniché le bon endroit.
Je le caresse, je le flatte, il est content. Je me mets à genoux pour le sucer, je sens sa bite grossir et durcir dans ma bouche.
J’obéis et j’enlève mon manteau puis je me plaque contre la portière, jambes écartées et le cul bien cambré, laissant voir mon clito et mes petites couilles, ” Oh putain ouais, quel sacré p’tit cul de pute à bite tu as ma salope ” me lance t-il en frottant son gland mouillé de bave sur l’entrée de ma chatte, puis il me l’enfonça de la même façon que l’autre, c’est à dire sans aucun ménagement et commença à me pilonner sauvagement. Mes gémissements attirent l’attention de Jean-Louis qui vient une nouvelle fois se régaler du spectacle.
J’en prend plein le cul, l’homme se déchaîne comme un fou furieux dans ma chatte qui commence à me faire mal tandis que Jean-Louis l’encourage. Je manque de perdre l’équilibre sous ses puissants coups de reins. L’homme prend mon clito dans sa main et le branle furieusement, ” Tu vas gicler pendant que je t’encule sale pute !! ” me lance t-il
Je sens son sperme chaud gicler dans mon ventre, il reste immobile un moment en moi puis je sens sa pisse me remplir les entrailles, je finis par jouir, les jambes tremblantes, il se retire et me regarde évacuer à gros jets le mélange de sperme et de pisse. L’homme s’en va et nous sommes prêts à quitter l’endroit, je me dis que c’est fini pour aujourd’hui mais non.
Tu ne crois pas si bien dire Nathy ;-(