Le cul plein de foutre, je me change et enfile une tenue de pute comme me l’a ordonné Jean-Louis mon mac et nous sortons, ma jupe couvre à peine la moitié de mes fesses nues et laisse apparaître le bout de mon clito. Les passants n’en croient pas leurs yeux Nous prenons le bus et les passagers ont leurs yeux rivés sur mon cul. Une jeune femme sort alors son appareil photo.
Il m’exhibe comme une vulgaire bête de foire et m’ordonne de me pencher pour satisfaire la jeune femme.
J’obéis et me retourne en soulevant ma jupe pour montrer ma petite queue pour le plus grand plaisir de la photographe.
Nous descendons en compagnie de la photographe et nous entrons dans les toilettes publique dans lesquelles Jean-Louis a l’habitude de m’emmener pur propose ma bouche et mon cul aux types qui viennent pisser contre de l’argent. Ce matin là il y avait un client.
Le type ‘écarte les fesses pour permettre à cette salope de prendre ma chatte et mes couilles en gros plans tandis que Jean-Louis a déjà enlevé son pantalon et son slip pour le plus grand plaisir de la salope qui n’en espérait pas tant. Le type me bourre la chatte, penchée contre les urinoirs tandis que Jean-Louis défonce le cul de la jeune salope. Ceci étant fait, Jean-Louis m’emmène déjeuner dans un snack-bar peu recommandable pour montrer sa putain aux clients plutôt louches. Nous prenons place au comptoir sur des tabourets pivotants, Jean-Louis commande deux croque-monsieur tandis que les clients attablés derrière nous matent mon cul. Un nouveau clients arrive et s’installe sur le tabouret juste à ma droite, il regarde mes cuisses largement découvertes. ” Ecarte tes cuisses, montre lui ” me dit Jean-Louis, j’obéis et j’ouvre mes cuisses, le type pose alors sa main gauche sur ma cuisse droite et remonte jusqu’à mon clito. Il est d’abord surpris puis il me sourit en me le tripotant. Il me demande si je suce, je réponds que oui, Jean-Louis lui dit alors qu’il peut me baiser dans les toilettes du sous-sol si il veut, moyennant finances, l’homme accepte et se dirige vers l’escalier menant aux toilettes, ” Suis le ” m’ordonne Jean-Louis. Je quitte mon tabouret et rejoins l’homme dans les toilettes qui se résument à une simple cabine avec une cuvette de WC à l’émail fissuré et dont la porte ne ferme plus. L’homme a déjà son pantalon sur ses chevilles, je lui indique le tarif, il me paie, je lui donne une capote, je le suce et il m’encule sans ménagement, penchée contre la chasse d’eau, il gicle sur mes fesses et remonte au bar, je rejoins Jean-Louis et lui donne l’argent. Nous déjeunons et tout en mangeant, il me dit ” Après on va aller voir Mme Berthe, une bonne amie à moi, elle habite dans une ferme, je l’ai appelée pour lui dire qu’on venait la voir “. Nous prenons un café puis nous prenons le chemin de la ferme, je me demande ce qui m’attend encore.
A SUIVRE ……