Une semaine a déjà passé et l’argent que je rapporte remplit bien les caisses de Jean-Louis, il faut dire que je donne pas mal de ma personne en travaillant sur le trottoir mais aussi dans la maison close de la mère Cora en échange du gîte et du couvert.
Jean-Louis m’avait loué une voiture pour que je puisse changer de quartier assez rapidement car ma présence ne plaisait pas à toutes les autres putes, ce qui me permettait de trouver des endroits plus tranquilles.
J’ai commencé à être connue dans la capitale et je rapportais plus d’argent à Jean-Louis grâce à mon “petit extra” entre les jambes Mais cela ne plaisait pas à tout le monde car de plus en plus de clients préféraient venir me baiser plutôt que les autres putes.
Ah oui, les fameuses ” biches ” du bois de Boulogne Effectivement, j’y allais travailler de temps en temps mais avant de pouvoir le faire, j’ai du me faire accepter par ces créatures et ça c’est une autre histoire. Pendant ce temps, Jean-Louis allait parfois prendre du bon temps avec quelques putes lorsqu’il allait en reconnaissance du terrain, comme il disait.
Les routiers étaient sympas avec moi et reprenaient la route soulagés de leur précieuses semence
Mais Jean-Louis en voulait plus, alors il eu une idée de génie, enfin….selon lui. Il acheta une camionnette d’occasion pour une bouchée de pain et s’en servit pour me trimbaler à droite et à gauche pour me prostituer en toute discrétion dans des endroits urbains et extra urbains.
Et ce salaud m’avait remplie de sa pisse. Puis Jean-Louis investit dans un modèle plus luxueux et m’emmenait dans des quartiers plus huppés de Castelnau. Les clients étaient plus fortunés et donc il augmenta légèrement les tarifs.
Ca plus le trottoir lui rapportait un peu plus mais finalement, avec les frais de carburant, ce n’était pas encore très rentable, alors un jour il décida de monter à Paris. ” Prépare tes valises ma pute, on monte à Paris pour un mois, tu vas me rapporter gros là-bas. Je connais une personne qui pourra nous héberger “. Je vais préparer mes valises avec à l’intérieur de nombreuses fringues pour le tapin tandis que Jean-Louis téléphone à Paris. J’entends des bribes de conversation et je comprends que la personne en question ne tient pas un magasin de fleurs ;-(
Le lendemain, nous débarquons dans la capitale. Cora est là pour nous accueillir et nous transporte vers son entreprise qui n’est autre qu’une maison close en plein centre de Paris et fréquentée par des gens très hauts placés. Elle nous montre notre chambre, je défais mes valises tandis que Jean-Louis s’occupe des trois orifices de cette mère maquerelle. Puis nous dînons et vers 21h00, Cora indique à Jean-Louis les quartiers chauds de Paris et ce dernier m’envoie tapiner pour la première fois dans la capitale, cul nu et le clito à l’air. J’arpente les rues sombres et je vais chercher mes premiers clients.
Tous les endroits sont bons pour me faire baiser, même les plus sordides.
Vers 05h00 du matin, Jean-Louis me téléphone pour venir me récupérer.