C’est enfin vendredi après une dure semaine de chaleur difficilement supportable quand la climatisation tombe en panne. La société a tourné au ralenti et le patron a autorisé tout le monde à faire une pause de 20 mn toutes les deux heures et permis de se dévêtir un peu, pour son plus grand plaisir
Hi hi hi !! Tu as bien raison Martine D’ailleurs je ne me gêne pas pour en faire autant.
Mercrdi a été la journée la plus chaude et même le patron s’est mis à l’aise, faisant appel à une secrétaire pour le détendre
Hé oui, moi aussi j’ai droit aux RTT et quand je ne suis pas là il fait son petit tour pour vider ses sacs à semence hi hi !!
La pauvre s’exécute sans protester et Jean-Louis profite longuement de cette petite bouche jusqu’à exploser sans prévenir dans celle-ci, provoquant un haut le cœur de la part de la petite Tikuku.
Moi j’aime bien quand il me fait ça Jeudi le technicien est venu enfin réparer la clim et Jean-Louis me demande d’aller le remercier dans les toilettes. Il m’a bien ramoné la chatte et arrosé mes fesses.
Aujourd’hui, plusieurs CV arrivent dans la boîte mail de Kunikuni qui fait le tri. A 09h00 je sors faire une course pour le patron.
Merci salope.
09h45 je suis de retour et elle est surprise de me revoir si tôt.
Arrivée dans le hall d’accueil, je trouve une grande plante, non pas verte mais noire, perchée sur ses talons aiguilles, l’ensemble doit bien mesurer 1m85. Elle s’est déjà dévêtue et sa peau brille sous les spots du plafond, le l’accueille tout en admirant son magnifique fessier.
Je l’invite à passer dans mon bureau et c’est lorsqu’elle me fait face que je découvre son énorme engin qui se balance entre ses cuisses d’ébène. Je perds un peu mes moyens puis je sens ma chatte s’ouvrir d’elle même tellement j’ai envie de sentir cette anomalie de la nature dans mes fesses. Je me mets à l’aise et commence véritablement l’entretien. Je caresse sa trompe qui commence à se lever puis ses couilles.
A genoux devant elle, je la prends en bouche avec gourmandise, bavant et crachant dessus pour faciliter cette fellation hors du commun, je tente une gorge profonde, je sens son gland descendre dans mon œsophage, je recommence plusieurs fois. Son Manche de pioche est alors au maximum de sa grandeur et dur comme du bois d’ébène. Je me mets alors en position de levrette sur mon divan, lui offrant ma croupe bien cambrée, “Allez y, baisez moi ” lui dis-je. La belle s’enfonce en moi, je sens ma chatte craquer, m’arrachant un cri de douleur puis elle commence ses va et vient. Le sens son énorme bite s’enfoncer jusqu’à la garde dans mon ventre, je gémis, puis elle accélère le mouvement et la douleur fait maintenant place au plaisir anal, je crie de plaisir sous ses coups de reins et je l’encourage à y aller plus vite et plus fort, j’ai l’impression que sa bite va me ressortir par la bouche; elle continue de me pilonner la chatte de toutes ses forces, je crie comme une truie puis je sens un liquide chaud et puissant jaillir dans mon ventre, suivi d’un deuxième et d’un autre et encore et encore. Je sens mon ventre se remplir, elle vient d’éjaculer en moi.
Nous reprenons nos esprits toutes les deux et je remets également une enveloppe de billets à Ebony en lui donnant rendez-vous la semaine prochaine pour le shooting photos. Pendant le temps que je me faisais démonter, le patron était à ma recherche, il finit par croiser Kunikuni qui réalise que c’est l’occasion rêvée de se faire fourrer par le boss
Jean-Louis emboîte le pas de cette petite salope qui tortille son cul en marchant. Arrivés dans son bureau, celle-ci se penche pour attraper le dossier tout en relevant sa mini jupe, découvrant ainsi une bonne partie de ses fesses nues. Le patron n’hésite pas une seule seconde et vient caresser le cul de Kunikuni qui n’attendait que ça, il glisse sa main entre ses cuisses pour atteindre le petit abricot de la jeune secrétaire, il est déjà trempé. Il sort alors sa bite de son pantalon et Kunikuni ne se fait pas prier pour se mettre à genoux et sucer l’bjet de ses désirs, ” Salope, c’est ça que tu veux hein ? ” lui lance t-il en voyant sa queue disparaitre dans la bouche de Kunikuni.
La jeune salope obéit et s’installe sur le dos sur le bureau, écartant ses cuisses au maximum pour offrir sa chatte poilue au patron, ce dernier s’y engouffre et laboure Kunikuni sans retenue jusqu’à lui envoyer lapurée à l’intérieur.
Jean-Louis récupère le dossier et retourne à son bureau, laissant la jeune salope pantelante avec sa chatte pleine de foutre. Le reste de la matinée se déroule normalement et à 11h45 je pars déjeuner avec Jean-Louis qui a également invité les trois types de la sécurité car nous sommes vendredi. Cette fois c’est dans un petit restaurant quipropose des spécialités marocaines que le patron nous convie et comme tous les vendredi je me fais baiser dans les chiottes.
Voilà comment se déroule la semaine d’une secrétaire dévouée à son patron au sein d’Escort Girls For Rent Ce weekend, le boss m’invite dans sa maison de campagne, il m’a demandée si j’avais une tenue d’écolière, j’ai dit oui. Je crois que ce weekend ne va pas être de tout repos
Lundi matin 07h50, ouverture des bureaux d’EGFR. Jean-Louis et moi arrivons ensemble car j’ai passé le weekend chez lui, il avait invité “quelques” amis à lui c’est à dire pratiquement une trentaine. Je ne vous raconte pas l’état de mon cul dimanche soir. Il sort sa bite de son pantalon et m’invite à le sucer avant l’arrivée des premiers employés alors que je l’ai déjà sucé juste avant de partir, ” Vas y ma pute, fais moi une petite pipe, on a le temps ” me dit-il.
C’est vrai qu’avec lui on a toujours le temps et en plus j’adore avoir sa bite dans ma bouche Les autres employés et secrétaires arrivent quelques minutes après nous et tout le monde se met au travail. Le patron décide de faire son inspection surprise ce matin, la chasse aux culottes est ouverte et gare à celles qui osent en porter une.
A force de fourrer sa queue partout on perd la mémoire, n’est ce pas patron Ceci étant fait, il retourne à son bureau, il sort une chemise cartonnée de son tiroir fermé à clé et convoque la petite Janice (1m77 tout de même), la coursière, dans son bureau.
Il y a encore de la magouille fiscale dans l’air et seul Jean-René est au courant des magouilles du patron qui s’en sort à chaque fois avec les cuisses propres grâce à lui. C’est donc un petit cadeau monté sur talons hauts que lui envoie Jean-Louis en guise de remerciements
A peine Janice a t-elle quitté le bureau que Jean-Louis appelle Jean-René au téléphone,” Jean-René, c’est Jean-Louis, je t’envoie la p’tite Janice, profite en bien mon ami ” puis il raccroche. Il consulte sa liste d’entretiens d’embauches qui lui est envoyée par la jeune Kunikuni, chargée de trier et de redistribuer les CV reçus par mail.
Le premier est prévu à 09h00 pile avec une femelle de 38 ans. Il l’accueille dans son bureau et lui explique en quoi consiste l’entretien, c’est d’une simplicité enfantine
Et voilà, une gagneuse de plus pour la société. Jean-Louis lui remet une enveloppe contenant des billets de 50 €, ” T’iras t’acheter des fringues classe, de la lingerie de salope et quelques breloques aussi, il faut qu’on ait envie de te baiser. Reviens me montrer ça lundi prochain, on fera ton shooting photos pour le catalogue “. Et c’est avec le cul rempli de foutre que la femelle rentre chez elle. De mon coté c’est calme, j’en profite pour ranger mes dossiers et me balader un peu dans les bureaux et j’entends des petits gémissements. Je m’approche discrètement et tombe sur un spectacle très intéressant
La matinée se termine doucement, Je pars déjeuner avec le patron. Les autres employés passent leurs pauses déjeuner comme elles le souhaitent
Il a choisi une brasserie classe dans la quelle il a réservé une table en terrasse avec parasol et c’est avec les cuisses bien écartées sous la table que je partage son déjeuner. Nous prenons le café puis non retournons au bureau. Tout est tranquille et dans l’après midi, ma montre sonne, comme tous les jours à la même heure, l’heure pour mon patron de baiser son vide couilles de secrétaire Je n’attends pas qu’il arrive dans mon bureau et je prends déjà la position qu’il préfère pour me baiser c’est à dire en levrette.
Nos ébats sexuels ne passent pas inaperçus dans les espaces de travail et une certaine Kunikuni ne rest pas insensible à cela car elle a des vues sur la bite du patron depuis quelques temps étant donné qu’elle n’est pas encore passée à la casserole, on se demande comment c’est possible
18h00, fermeture des bureaux, tout le monde rentre à la maison, je fais un bref passage chez moi, juste le temps de changer de tenue pour mon deuxième travail de la journée car il va encore faire jour jusqu’à 22h00.
A SUIVRE….
Chaque matin le patron me “contrôle” , c’est à dire qu’il vérifie que je ne porte pas de culotte sous ma jupe, ça le fait bander de savoir que sa secrétaire travaille les fesses et le clito à l’air. D’ailleurs, aucune autre secrétaire n’a le droit d’en porter, sous peine d’être licenciée, c’est la règle number one de son entreprise.
Chaque vendredi midi il invite à sa table au resto 3 employés qu’il a choisis pour les récompenser de leur travail durant la semaine mais le repas n’est pas la seule récompense qu’il leurs propose. En effet, il leurs offre aussi le loisir de me baiser dans les toilettes du restaurant qu’il a choisi. La moitié du personnel masculin de la boîte m’est déjà passée dessus et il n’y a que les mauvais élèves qui n’ont pas encore profité de mes deux orifices. Ce vendredi là, Jean-René, le chef du service comptabilité est invité en compagnie de deux jeunes du service informatique.
Pendant le déjeuner au restaurant, Jean-Louis discute avec Jean-René de leur magouille avec le fisc tandis que les deux infor, placés de chaque coté de moi me caressent les cuisses sous la table, remontant même jusqu’à mon clito qu’il prennent un malin plaisir à tripoter. Je me laisse faire en écartant les cuisses, totalement offerte. Les autres clients du restaurant ne se doutent pas un seul instant de se qui se passe sous la table. Puis avant l’arrivée du café, Jean-Louis me fait signe de descendre dans les toilettes hommes. Je me lève en ayant pris soin de rajuster ma jupe et me dirige vers les escaliers qui mènent aux toilettes du sous-sol. Les deux infor comprennent le message et le premier d’entre eux me rejoint dans les toilettes. J’ai déjà enlevé ma jupe et c’est à demi nue que je reçois le premier. Je le suce d’abord puis je me penche contre le lavabo, cuisses écartées, lui offrant mon cul. Il me ramone la chatte tout en entamant la conversation.
Je sens sa bite grossir et durcir encore, il accélère la cadence.
Puis le deuxième nous rejoint, il a sorti sa bite et prend la place du premier qui retourne dans ma bouche.
Ce n’est pas la première fois qu’ils profitent de moi et ils finissent par me remplir de leur sperme. Ils remontent en salle et c’est Jean-René dit “Queue de béton” qui arrive quelques secondes plus tard et c’est la première fois qu’il va me baiser. Il découvre ainsi la particularité de la secrétaire du patron.
Il s’en amuse et me tripote le clito et les couilles.
J’obéis à ses désirs et je lui présente mes fesses, me rappelant la consigne de Jean-Louis ” Surtout soigne le bien “.
Après m’avoir doigtée la chatte avec ses gros doigts, “Queue de béton” me pousse contre le lavabo et me claque violement le cul ” penche toi et écarte bien tes jambes, tu vas voir pourquoi on m’appelle Queue de béton” me lance t-il. Il m’embroche d’un grand coup sec, sans ménagement, ce qui m’arrache un cri de douleur puis il me laboure la chatte à grands coups de reins pendant de longues minutes et finit par expulser de longs jets de foutre dans mon ventre dans un râle de jouissance. Ceci fait il se rhabille et me dit ” A vendredi prochain peut-être salope ” puis il remonte rejoindre les autres. Je laisse son sperme s’échapper de ma chatte éventrée, je le sens couler sur mes couilles et je le vois tomber sur le carrelage, formant ainsi une belle petite flaque blanchâtre. Je m’essuie et remets ma jupe avant de rejoindre tout le monde à table pour le café. Jean-Louis paie l’addition et nous retournons travailler car la journée n’est pas terminée.
A SUIVRE ….