De retour à la maison, Jean-Louis me conduit à la cave et me lave au jet d’eau froide grâce à un tuyau d’arrosage, ” Voilà, une putain toute propre pour demain ” lance t-il, puis il me fait marcher à quatre pattes, encore toute trempée, vers une cage en bois qu’il a fabriquée, ” Allez rentre là dedans ma pute “. Je rentre dans la cage tout juste assez grande pour que je m’y tienne accroupie, il s’en va en éteignant la lumière, je reste dans ma cage, dans le noir et le froid. ” Bonne nuit ma pute !! “.
Je n’ai pratiquement pas dormi à cause du froid, j’entends mon maître Jean-Louis descendre l’escalier, il allume la lumière et s’approche de ma cage, tenant un flacon en plastique à la main.
Tout en pissant dans le flacon, il m’annonce le programme de la journée.
Je bois sa pisse chaude devant lui puis il me fait sortir de la cage et me conduit au rez de chaussée, une tenue de pute m’y attend. ” Enfile ça, on va se promener au bois, y’aura peut-être quelqu’un pour te défoncer le cul “. J’enfile la tenue et il m’emmène vers le bois des prostituées.
Il me promène comme un animal et quelques clients sont intéressés pour me baiser sous les regards incrédules des autres prostituées. Nous rentrons, retourne dans ma cage après m’être totalement déshabillée. Quelques minutes plus tard Jean-Louis me donne une gamelle de riz dans laquelle il urine devant moi, ” Tiens, il est meilleur comme ça ” me dit-il en riant. Je mange le riz et attends son retour. Il revient chercher la gamelle vide et me fait sortir de ma cage, j’enfile à nouveau ma tenue de pute et nous partons voir Ginette.
Cette vieille peau doit avoir l’habitude de se faire tringler par tous les trous par mon Maître, quant à moi, je prends connaissance de ce qui m’attend.
Malheureusement pas ma pauvre Nathy ;-(
La vieille truie part avec Jean-Louis tandis que son ouvrier vient me chercher pour me conduire aux chiens, il tient son caméscope à la main. Je me fais grimper dessus et féconder 32 fois, le temps est interminable, je suis pleine de foutre canin. Les deux ” tourtereaux ” reviennent, Jean-Louis me récupère et nous rentrons. En chemin il me dit ” Allez, un bon lavage au jet d’eau et tu vas mettre ta tenue de soubrette, j’ai hâte de les voir te baiser ma pute “.
La soirée promet d’être animée.
FIN.
Tout en conduisant, Jean-Louis caresse ma cuisse gainée de bas et remonte sa main jusqu’à mon entrejambe, d’un geste autoritaire il soulève ma jupe, ” Ecarte tes cuisses que je puisse te tripoter un peu ” me dit-il. J’obéis et j’écarte mes cuisse, sa main enserre mes couilles, il me les malaxe puis commence à jouer avec mon clito qui commence à durcir. Il ne va pas plus loin dans son tripotage car nous arrivons à la ferme, une jeune femme nous accueille, elle est plutôt vulgaire.
Je me dirige vers l’écurie tandis que Jean-Louis et cette pimbêche vont vers la grange à foin. J’enlève tous mes vêtements et me présente, nue comme un vers, à Mme Berthe qui est très occupée.
Les seins à l’air et une main sur sa chatte, la vieille suce la bite de son cheval, sa bouche est juste assez grande.
Puis elle daigne s’intéresser à moi.
J’obéis encore une fois et me voici en train de lui bouffer la chatte tandis qu’elle branle l’énorme pénis. C’est ensuite que les choses se compliquent, je comprends pourquoi je suis ici quand Mme Berthe m’ordonne de coller ma croupe contre cet engin.
J’écarte mes fesses autant que je peux pour faciliter la pénétration de ce truc énorme dans mes entrailles guidé par la main de la vieille peau, il finit par rentrer en m ‘arrachant un cri de douleur. J’obéis à ses ordres et je sens ce pieu continuer a s’enfoncer doucement dans mon cul, j’ai l’impression qu’il va exploser.
Je fais des mouvements de va et vient, encouragée par Mme Berthe et je commence à prendre du plaisir en sentant cette bite coulisser dans mes entrailles, j’aimerais que cela dure encore un peu mais l’étalon lâche ses flots de semence dans mon ventre que je sens se remplir. Mme Berthe retire la bite de mon cul et y enfonce immédiatement trois doigts pour servir de bouchon anal. ” Garde le un peu espèce de pute, je veux que tu le sentes bien dans ton ventre ” me dit-elle. Comment ne pas le sentir, je dois bien avoir un bon litre de foutre dans le cul !! Elle retire enfin ses doigts et j’évacue le sperme chevalin dans un long jet blanc. Elle me laisse partir et je me retrouve à l’entrée de l’écurie ou l’on m’attend.
Je montre ma chatte béante à la pimbêche et je vais sucer la bite de cette créature peu commode. Jean-Louis arrive juste au moment où elle décharge dans ma bouche. Je ramasse mes vêtements sans les mettre et je monte dans la voiture. Sur le chemin du retour, Jean-Louis m’apprend qu’il m’a aménagé une nouvelle pièce et qu’elle se trouve à la cave. Je ne suis pas impatiente de la découvrir.
A SUIVRE ……
Le cul plein de foutre, je me change et enfile une tenue de pute comme me l’a ordonné Jean-Louis mon mac et nous sortons, ma jupe couvre à peine la moitié de mes fesses nues et laisse apparaître le bout de mon clito. Les passants n’en croient pas leurs yeux Nous prenons le bus et les passagers ont leurs yeux rivés sur mon cul. Une jeune femme sort alors son appareil photo.
Il m’exhibe comme une vulgaire bête de foire et m’ordonne de me pencher pour satisfaire la jeune femme.
J’obéis et me retourne en soulevant ma jupe pour montrer ma petite queue pour le plus grand plaisir de la photographe.
Nous descendons en compagnie de la photographe et nous entrons dans les toilettes publique dans lesquelles Jean-Louis a l’habitude de m’emmener pur propose ma bouche et mon cul aux types qui viennent pisser contre de l’argent. Ce matin là il y avait un client.
Le type ‘écarte les fesses pour permettre à cette salope de prendre ma chatte et mes couilles en gros plans tandis que Jean-Louis a déjà enlevé son pantalon et son slip pour le plus grand plaisir de la salope qui n’en espérait pas tant. Le type me bourre la chatte, penchée contre les urinoirs tandis que Jean-Louis défonce le cul de la jeune salope. Ceci étant fait, Jean-Louis m’emmène déjeuner dans un snack-bar peu recommandable pour montrer sa putain aux clients plutôt louches. Nous prenons place au comptoir sur des tabourets pivotants, Jean-Louis commande deux croque-monsieur tandis que les clients attablés derrière nous matent mon cul. Un nouveau clients arrive et s’installe sur le tabouret juste à ma droite, il regarde mes cuisses largement découvertes. ” Ecarte tes cuisses, montre lui ” me dit Jean-Louis, j’obéis et j’ouvre mes cuisses, le type pose alors sa main gauche sur ma cuisse droite et remonte jusqu’à mon clito. Il est d’abord surpris puis il me sourit en me le tripotant. Il me demande si je suce, je réponds que oui, Jean-Louis lui dit alors qu’il peut me baiser dans les toilettes du sous-sol si il veut, moyennant finances, l’homme accepte et se dirige vers l’escalier menant aux toilettes, ” Suis le ” m’ordonne Jean-Louis. Je quitte mon tabouret et rejoins l’homme dans les toilettes qui se résument à une simple cabine avec une cuvette de WC à l’émail fissuré et dont la porte ne ferme plus. L’homme a déjà son pantalon sur ses chevilles, je lui indique le tarif, il me paie, je lui donne une capote, je le suce et il m’encule sans ménagement, penchée contre la chasse d’eau, il gicle sur mes fesses et remonte au bar, je rejoins Jean-Louis et lui donne l’argent. Nous déjeunons et tout en mangeant, il me dit ” Après on va aller voir Mme Berthe, une bonne amie à moi, elle habite dans une ferme, je l’ai appelée pour lui dire qu’on venait la voir “. Nous prenons un café puis nous prenons le chemin de la ferme, je me demande ce qui m’attend encore.
A SUIVRE ……