Ma vraie vie de pute a commencé après avoir été virée de l’école pour m’être prostituée dans les toilettes des garçons, les pauvres dépensaient leur argent de poche pour se soulager dans mon cul ou dans ma bouche, je crois qu’ils me sont tous passé dessus au moins une fois
Je n’étais pas la seule a m’être faite virer, le professeur d’anatomie Mr Jean-Louis a lui aussi été remercié le même jour pour avoir profité sexuellement des filles qui se rendaient dans son logement de fonction pour soi-disant suivre des cours particuliers, ce cochon leur faisait perdre de force leur pucelage vaginal mais aussi anal.
Jean-Louis et moi étions plus que des amis, il faut dire qu’il me baisait tous les jours, matin, midi et soir, gratuitement Parfois dans le parc de l’école, c’était très excitant. Sa bite me donnait du plaisir et j’avais toujours envie de la sucer Il me demandait de ne plus porter de culotte sous ma jupe pour pouvoir me caresser les fesses et le clito quand on se croisait dans les couloirs
Les autres filles me rassuraient en me disant que même si j’étais virée de l’école, je n’aurai aucun problème pour gagner ma vie avec ma bouche et mon cul. ” Tu n’es bonne qu’à faire la pute ici de toute façon, alors tu n’auras qu’à continuer sur le trottoir ” me disaient-elles.
Jean-Louis et moi avons été virés le même jour, juste après la photo souvenir avec quelques copines.
Il me proposa de m’installer chez lui, le temps que je puisse me débrouiller toute seule, en fait c’était surtout pour pouvoir me baiser quand il le voulait. Cela ne me déplaisait pas, bien au contraire Au bout de quelques mois il fallut trouver une source de revenus car les économies de Jean-Louis commençaient à s’épuiser, il me fit alors une proposition, ” Qu’est-ce que tu dirais de faire le trottoir pour moi ? T’as déjà une bonne expérience en la matière, ton p’tit cul et ta bouche devraient rapporter pas mal d’argent et avec ton petit extra entre tes cuisses tu devrais attirer des clients vicieux et pervers. Tu serais ma pute attitrée et moi ton mac, je te donnerai de l’argent pour tes fringues de pute “. Je réfléchis quelques secondes seulement et j’acceptais de devenir sa putain, je me voyais déjà arpenter les rues sombres en tenue de pute, à la recherche de clients et cela m’excitait déjà.