Lundi matin 07h50, ouverture des bureaux d’EGFR. Jean-Louis et moi arrivons ensemble car j’ai passé le weekend chez lui, il avait invité “quelques” amis à lui c’est à dire pratiquement une trentaine. Je ne vous raconte pas l’état de mon cul dimanche soir. Il sort sa bite de son pantalon et m’invite à le sucer avant l’arrivée des premiers employés alors que je l’ai déjà sucé juste avant de partir, ” Vas y ma pute, fais moi une petite pipe, on a le temps ” me dit-il.
C’est vrai qu’avec lui on a toujours le temps et en plus j’adore avoir sa bite dans ma bouche Les autres employés et secrétaires arrivent quelques minutes après nous et tout le monde se met au travail. Le patron décide de faire son inspection surprise ce matin, la chasse aux culottes est ouverte et gare à celles qui osent en porter une.
A force de fourrer sa queue partout on perd la mémoire, n’est ce pas patron Ceci étant fait, il retourne à son bureau, il sort une chemise cartonnée de son tiroir fermé à clé et convoque la petite Janice (1m77 tout de même), la coursière, dans son bureau.
Il y a encore de la magouille fiscale dans l’air et seul Jean-René est au courant des magouilles du patron qui s’en sort à chaque fois avec les cuisses propres grâce à lui. C’est donc un petit cadeau monté sur talons hauts que lui envoie Jean-Louis en guise de remerciements
A peine Janice a t-elle quitté le bureau que Jean-Louis appelle Jean-René au téléphone,” Jean-René, c’est Jean-Louis, je t’envoie la p’tite Janice, profite en bien mon ami ” puis il raccroche. Il consulte sa liste d’entretiens d’embauches qui lui est envoyée par la jeune Kunikuni, chargée de trier et de redistribuer les CV reçus par mail.
Le premier est prévu à 09h00 pile avec une femelle de 38 ans. Il l’accueille dans son bureau et lui explique en quoi consiste l’entretien, c’est d’une simplicité enfantine
Et voilà, une gagneuse de plus pour la société. Jean-Louis lui remet une enveloppe contenant des billets de 50 €, ” T’iras t’acheter des fringues classe, de la lingerie de salope et quelques breloques aussi, il faut qu’on ait envie de te baiser. Reviens me montrer ça lundi prochain, on fera ton shooting photos pour le catalogue “. Et c’est avec le cul rempli de foutre que la femelle rentre chez elle. De mon coté c’est calme, j’en profite pour ranger mes dossiers et me balader un peu dans les bureaux et j’entends des petits gémissements. Je m’approche discrètement et tombe sur un spectacle très intéressant
La matinée se termine doucement, Je pars déjeuner avec le patron. Les autres employés passent leurs pauses déjeuner comme elles le souhaitent
Il a choisi une brasserie classe dans la quelle il a réservé une table en terrasse avec parasol et c’est avec les cuisses bien écartées sous la table que je partage son déjeuner. Nous prenons le café puis non retournons au bureau. Tout est tranquille et dans l’après midi, ma montre sonne, comme tous les jours à la même heure, l’heure pour mon patron de baiser son vide couilles de secrétaire Je n’attends pas qu’il arrive dans mon bureau et je prends déjà la position qu’il préfère pour me baiser c’est à dire en levrette.
Nos ébats sexuels ne passent pas inaperçus dans les espaces de travail et une certaine Kunikuni ne rest pas insensible à cela car elle a des vues sur la bite du patron depuis quelques temps étant donné qu’elle n’est pas encore passée à la casserole, on se demande comment c’est possible
18h00, fermeture des bureaux, tout le monde rentre à la maison, je fais un bref passage chez moi, juste le temps de changer de tenue pour mon deuxième travail de la journée car il va encore faire jour jusqu’à 22h00.
A SUIVRE….