J’ai reçu mon nouveau mini short, il moule bien mes petites fesses et ça me fait un cul de salope. Je vais à la fenêtre de la cuisine pour profiter un peu du soleil, trémoussant mon petit cul, m’imaginant déjà sur la plage avec ce short Mes pensées sont interrompues par l’arrivée de Jean-Louis, mon ” employeur ” pervers et cochon.
Mon short ne tarde pas à glisser sur mes chevilles tandis que ses mains me pétrissent les fesses avec autorité.
Il ne se gène pas pour enfoncer deux doigts dans ma chatte et la branler vivement. Je descends mon string tandis qu’il se caresse la queue.
Inventant un faux prétexte, il décide de me corriger.
Mes fesses rougissent rapidement et commencent à me faire mal mais il n’en a que faire et continue jusqu’à être satisfait du résultat.
Je me doutais bien de ses intentions et c’est c’est d’un coup sec qu’il me pénètre jusqu’à la garde en commençant à m’insulter et à me pilonner sauvagement.
Ses coups de reins m’arrachent des cris, ce qui l’excite encore plus.
Je sens sa queue raide me labourer les entrailles.
Je sens sa semence gicler dans mon ventre, il continue ses va et vient encore pendant quelques minutes puis se retire pour admirer son oeuvre.
J’obéis et écarte mes fesses pour laisser échapper son foutre qui n’en finit pas de couler.
Je ramasse mon short et mon string et je pars me changer.
A SUIVRE….
De retour à la maison, une surprise m’attend. Jean-Louis a décidé que je lui appartiendrai définitivement et a fait appel à une jeune femme. Celle-ci tient un sac en cuir qui sent un peu le roussi. Jean-Louis me pousse contre un tabouret, m’écarte les jambes et enfonce une queue de cheval dans ma chatte tandis que la jeune femme sort du sac une sorte de bâton avec un fil électrique. J’attends sans bouger, me demandant ce qu’elle faisait puis je sens une odeur à la fois acre et chaude, Jean-Louis sort sa caméra et je m’inquiète un peu. J’avais raison de l’être ;-(
Je sens une chaleur intense s’approcher de mes fesses et je hurle de douleur en sentant le fer meurtrir ma chair. Une odeur de cochon grillé emplit la pièce.
Ultime humiliation, il venait de me marquer comme du bétail. Je reste comme ça, à la limite de l’évanouissement, la jeune femme débranche son fer et le pose sur un support pour qu’il refroidisse. Pendant ce temps, Jean-Louis paie la jeune femme et se fait sucer la bite en prime puis elle quitte l’appartement et je reste immobile avec ma douleur.
J’obéis et me dirige vers la cuisine, j’ai du mal à marcher. Quelques jours plus tard, la douleur a disparue, laissant place à un code barre humiliant en haut de ma cuisse. Jean-Louis est satisfait.
Le soir même, je prends le chemin du Quartier Putain, marquée comme une vulgaire marchandise. J’y rencontre d’autres gagneuses.
La nouvelle se répand comme une traînée…de poudre et je deviens vite l’attraction du mois.
Oui et alors ???!!! Les clients sont ravis, ils savent tout de suite à qui ils ont à faire et l’argent coule à flots dans les caisses. Le fait d’aller travailler, le cul nu et le clito à l’air, ne me dérangeait plus, à l’inverse de certaines personnes qui n’hésitent pas à me le faire savoir mais je m’en fiche.
Quand je ne fais pas la pute en camionnette, Jean-Louis m’envoie faire le trottoir ou bien il me loue par petite annonces a des client(e)s pour des prestations spéciales où a des maisons closes.
Je ne suis plus qu’une marchandise avec un code barre. Jean-Louis fait passer des casting pour élargir son cheptel de gagneuses et il les marque quand elles font l’affaire.
FIN.
Après un été passé à faire la putain itinérante sur les plages avec Jean-Louis dans son combi VW, il décide de continuer de me trimbaler sur les routes étant donné les gains d’argent plus importants que procure ce mode de ” travail “.
Cependant il décide d’acheter un modèle plus petit et surtout plus discret. Il me fait découvrir sa dernière acquisition sur un terrain vague réputé pour être un lieu de baise. Son confort me laisse sans voix.
Je m’avance vers le fourgon et je sens le regard de Jean-Louis sur mon cul.
Ce pervers n’attendait que ça, me voir à poil avec juste mes bas et mes bottes, ça l’excite. J’obéis et commence à me déshabiller.
Juste le temps de prendre la position de levrette avant l’arrivée du premier client.
j’atends, offerte à quatre pattes à l’arrière de la fourgonnette, l’homme se déshabille et se place devant moi à genoux, je devine ce qu’il va me demander, j’ouvre la bouche et commence à le sucer. ” Vas y salope, suce bien ma bite, je veux que tu la sentes bien au fond de ta gorge hummmm oui comme ça “, l’homme me prend la tête à deux mains et me baise la bouche, enfonçant sa bite jusqu’à la garde, ses poils pubiens viennent se coller contre mon nez, une odeur de pisse entre dans mes narines. Sa bite entre et sort de ma gorge de plus en plus vite, j’ai des hauts le cœur, prête à vomir, je bave abondamment puis il libère ma bouche pleine de bave, ” ça te plait ça hein ma salope, tu l’aimes bien ma bite ah ah ah !! Allez je vais voir si ton cul est aussi accueillant que ta bouche ” Il se place derrière moi, m’écarte les fesses, crache sur ma chatte et sur sa bite puis il l’enfonce violemment jusqu’à la garde, m’arrachant un cri de douleur sous le regard amusé de Jean-Louis, ” C’est bien sale pute, gueule plus fort ça m’excite !! “, chacun de ses puissants coups de reins me fait crier, j’ai l’impression d’avoir un manche de pioche dans le cul. C’est à se moment là qu’arrive Clara, une jeune pute de 31 ans et que Jean-Louis avait sortie de la panade une paire de fois.
Clara ne dit jamais non à Jean-Louis car elle sait bien que c’est grâce à lui si elle peut encore travailler. Elle lui fait donc une bonne pipe, avale son jus puis reprend son chemin tandis que l’homme soulage sa vessie dans mon ventre. Ceci étant fait, Jean-Louis décide de rester un peu, histoire de voir si le coin est rentable et c’est au tour de nos deux jeunes voisines, Laura et Lisa, de respectivement 19 et 20 ans, de faire leur apparition. On se demande bien ce qu’elles font dans un tel endroit mais je pense que Jean-Louis n’y est pas pour rien. A mon avis il a du leurs parler de cet endroit dans lequel on peut se faire facilement de l’argent et elles ont du vouloir vérifier.
Laura connaissait déjà Jean-Louis pour l’avoir rencontré un jour dans le parc dans lequel il aime bien se promener, à la recherche de jeunes recrues pour agrandir son cheptel de travailleuses.
Ce jour là, il ne tint pas sa parole et sodomisa Laura de force dans une vieille cabane pour finalement décharger dans son cul. Elle lui en voulut pendant plusieurs semaines puis finit par lui pardonner. C’est donc Lisa qui s’y colle à son tour dans la camionnette sans que Laura ne la mette en garde. La pauvre subit le même sort que Laura et se fit remplir le cul de sperme, elle gratifia Jean-Louis d’une bonne gifle, ” Salaud, t’avais promis !! “. Non Lisa, il t’avait dit qu’il ne garantissait rien, c’est différent lol !! Les deux futures putes repartirent, Jean-Louis s’était bien vidé les couilles et décida de partir mais un nouveau client se présenta à la dernière minute, je m’occupe de lui tandis que Jean-Louis se félicite d’avoir déniché le bon endroit.
Je le caresse, je le flatte, il est content. Je me mets à genoux pour le sucer, je sens sa bite grossir et durcir dans ma bouche.
J’obéis et j’enlève mon manteau puis je me plaque contre la portière, jambes écartées et le cul bien cambré, laissant voir mon clito et mes petites couilles, ” Oh putain ouais, quel sacré p’tit cul de pute à bite tu as ma salope ” me lance t-il en frottant son gland mouillé de bave sur l’entrée de ma chatte, puis il me l’enfonça de la même façon que l’autre, c’est à dire sans aucun ménagement et commença à me pilonner sauvagement. Mes gémissements attirent l’attention de Jean-Louis qui vient une nouvelle fois se régaler du spectacle.
J’en prend plein le cul, l’homme se déchaîne comme un fou furieux dans ma chatte qui commence à me faire mal tandis que Jean-Louis l’encourage. Je manque de perdre l’équilibre sous ses puissants coups de reins. L’homme prend mon clito dans sa main et le branle furieusement, ” Tu vas gicler pendant que je t’encule sale pute !! ” me lance t-il
Je sens son sperme chaud gicler dans mon ventre, il reste immobile un moment en moi puis je sens sa pisse me remplir les entrailles, je finis par jouir, les jambes tremblantes, il se retire et me regarde évacuer à gros jets le mélange de sperme et de pisse. L’homme s’en va et nous sommes prêts à quitter l’endroit, je me dis que c’est fini pour aujourd’hui mais non.
Tu ne crois pas si bien dire Nathy ;-(
En 30 mn j’avale mon déjeuner puis je repars en quête de bons coups de bites. Je passe entre les nudistes en tortillant du cul, m’arrêtant parfois pour leurs laisser le temps de se rincer l’oeil
Celui-là je l’avais laissé jouer avec mon clito et ensuite je l’avais branlé discrètement, je suis partie avec la main pleine de sperme, je l’ai léché pour ne pas gaspiller hi hi hi !! J’ai poursuivi mon chemin jusqu’à rencontrer un charmant jeune homme qui m’a honorée comme il faut en plein milieu de la plage et sous les regards envieux de certains
Lui non plus je ne l’ai pas laissé en reste mais pendant que j’avais la tête enfouie entre ses cuisses, il se fait surprendre par une charmante créature.
Hé oui Mr André, grillé !! hi hihi !! Et cette salope d’à peine 18 ans de la semaine dernière qui se balade déjà à poil, quelle petite salope. Je poursuis mon chemin et je tombe sur un jeune couple en plein accouplement au bord de l’eau. Je les observe, l’homme était en train de pilonner le cul de sa compagne qui beuglait comme une vache. Soudain l’homme s’immobilise dans le cul de sa salope et me demande si je veux participer, je lui dis que je ne suis pas contre et je m’approche de lui pour découvrir une bite superbe, je commence à le sucer à genoux devant la jeune femme mais il me lance ” Non pas comme ça, suce moi à quatre pattes “, on prend la position et il commence à me baiser la bouche. Sa bite m’étouffait et j’ai senti du liquide couler sur l’entrée de ma chatte et ensuite des doigts qui s’enfoncer à l’intérieur, d’abord deux, puis trois, le quatrième ne tarda pas et j’ai compris ce que cette salope voulait me faire quand elle a remis du gel et a ajouté son pouce aux autres doigts. je sentais sa main forcer pour pénétrer ma chatte, j’essayais de crier mais avec ce gros salami dans ma bouche….. Elle a fini par y arriver, je sentais sa main bouger dans mon ventre. La salope me claquait les fesses en faisant tourner sa main à l’intérieur, ” ça te plait ça hein salope, c’est mieux qu’une bite non ? “. J’avais l’impression que mon cul allait exploser quand deux jeunes femmes se sont arrêtées, intriguées par le spectacle, il faut dire qu’on ne voit pas tous les jours quelqu’un avec une main dans le cul sur la plage.
La salope décida d’aller plus loin et enfonça sa main plus profond dans mes entrailles sous le regard médusé des jeunes nudistes.
J’avais la chatte en feu mais elle continuait de me labourer avec sa main, l’homme finit par jouir dans ma bouche, je sentais son sperme couler dans ma gorge La salope retira sa main de ma chatte mais en serrant le poing, quelle pute, ” allez, va montrer ton cul aux autres maintenant ” m’a t-elle lancé. La chatte complètement dilatée j’ai repris mon chemin, J’arrive près d’une jeune femme qui est en train de se mettre un gros truc dans le cul, je lui ai demandé ce que c’était et elle m’a répondu ” c’est un spéculum, ça sert à élargir l’anus “, je regarde l’engin enfoncé dans son cul, il devait faire au moins 8 cm de diamètre. ” si tu veux j’en ai un deuxième dans mon sac “, je lui ai dit d’accord, de toute façon l’autre salope avait bien commencé le travail
Elle me l’installe et tourne la vis jusqu’à ce que ma rondelle ressemble à un gloryhole, je pense qu’on aurait pu facilement y glisser une boule de pétanque !! Elle m’a invitée à aller se baigner comme ça, on marchait bizarrement avec ça dans le cul.
Arrivées au rivage, Aby (elle s’appelle Aby ) a commencé à entrer dans l’eau puis elle s’est accroupie pour inonder son cul, moi j’ai hésité, vu la température de l’eau.
Aby m’a encouragée et j’ai fini par me lancer.
Ohhhh quelle délicieuse sensation, quel délice !! On a joué comme ça pendant au moins une heure puis on est retournées sur la plage, Aby devait partir mais elle m’a offert le spéculum, je l’ai remerciée et j’ai continué mon petit périple sans me douter que quelqu’un avait parlé de moi aux médias.
Je me suis prise au jeu et j’ai accepté d’être filmée en direct en train de me faire tringler. Jacquie dirige l’équipe de tournage et motive les partenaires.
Jacquie et son équipe se régalent du spectacle et moi j’en prends plein la chatte en direct
Le tournage terminé, Jacquie m’a dit qu’elle m’enverrait une copie du film quant à moi je rejoins ma serviette de plage, je ramasse mes affaires puis retourne à ma voiture après cette journée bien remplie. Ce soir je vais travailler sur le port
FIN.
Voilà c’est l’été et les vacances. Le soleil n’est pas souvent au rendez-vous alors quand il fait son apparition il ne faut pas rater l’occasion car ma bouche et ma petite chatte étroite sont en manque de bites
10h00 du matin, je prépare mes affaires, crème solaire, serviette, gel anal, pas de maillot puisque c’est une plage nudiste, quelques fruits et une bouteille d’eau pour le déjeuner et en route pour faire gicler du sperme J’arrive sur le parking, il y a déjà des voitures de garées, je prends mes affaires et ajuste ma mini jupe au ras du cul, je marche vers la route qui me sépare de la plage et j’arrive au passage piétons, une voiture me laisse passer et son conducteur m’adresse quelques mots doux, ” Hey salope, y’a ta bite qui dépasse, vas te faire fourrer le cul !! “, je lui fais un petit coucou de la main en lui souriant et lui répondant que c’est exactement mon intention mais il n’a pas du entendre . Arrivée au bord de la plage, j’enlève tous mes vêtements et je me dirige à poil vers les rochers qui servent de lieu de rencontre et de baise entre gays, il y a parfois des femmes qui viennent y faire un tour mais juste en passant, histoire de voir du beau matériel je pense
J’aperçois deux types sur un banc entrain de se caresser la queue, je les rejoins et sans avoir besoin de dire quoi que ce soit, nous nous comprenons et je leurs offre ma bouche et mon cul.
Je les fais jouir et j’arrive enfin dans les rochers.
Je trouve mon petit coin habituel, j’installe ma serviette en prenant des poses bien porno devant deux types qui se rincent l’œil en se tripotant la queue puis je vais faire mon petit tour en tortillant du cul J’arrive devant un couple en plein bronzage.
Comment résister ?
L’un des voyeurs s’approche pour mieux voir ma bouche aspirer cette queue bien raide.
Pas de chance, il gicle sans prévenir et son sperme coule au fond de ma gorge. Je continue mon petit tour et je m’approche d’un bel homme nu et avec une queue de bonne taille. Sans un mot je commence à lui caresser le sexe et les couilles, il se laisse faire alors je m’agenouille pour le sucer, j’entends ses gémissements de plaisir puis il me relève et me plaque contre la paroi rocheuse pour m’enculer debout sans ménagement devant quelques voyeurs.
Il me déchire le cul brutalement, à la limite du viol et finit par exploser à l’intérieur de ma chatte. La journée commençait bien et je me dis que j’avais bien fait de venir aujourd’hui 11h30, je décide de continuer un peu avant de retourner sur ma serviette pour ma pause déjeuner. Je tombe sur mec seul en pleine masturbation, je lui demande si je peux prendre la place de sa main, il me sourie et m’invite à profiter de sa bite déjà raide. Je me mets à quatre pattes pour le sucer goulûment, il me gratifie de mots doux tels que ” Vas y suce, salope ” ou encore “ grosse pute, je vais te gicler dans la bouche “, il a à peine fini de proférer ses insultes que je sens quelque chose de gros et dur essayer de forcer le passage de ma chatte, je me retourne pour me retrouver face à un black mamba de taille imposante, environ 25 X 5, ma bouche est juste assez large pour engloutir l’engin. Je le suce quelques minutes puis je me retourne pour ” terminer ” mon premier partenaire et le black en profite pour m’embrocher avec son manche de pioche, j’ai la chatte en feu.
J’en prends encore une fois plein la bouche tandis que le black continue de me matraquer le cul, il finit par lâcher sa semence au fond de mes entrailles, je reprends mes esprits et retourne cette fois vers ma serviette pour déjeuner.
A SUIVRE….
Hier je suis allée à la médiathèque à la recherche d’un livre qui pourrait m’intéresser, habillée en écolière comme j’aime le faire. Arrivée sur place je descend au deuxième sous sol par l’ascenseur pour accéder au rayon livres. Je cherche des romans érotiques voire sexuels et je fini par trouver mon bonheur dans la partie ” livre pour adultes “.
Je me retourne pour voir si je peux en trouver un deuxième et un type vient se coller contre moi.
Je me baisse pour mettre mon livre dans mon sac et l’individu en profite pour soulever ma jupe et se rincer l’œil mais aussi pour me toucher les fesses.
Surprise mais pas choquée, j’ai l’habitude de me faire tripoter, je me dirige vers l’ascenseur pour regagner le rez de chaussée et faire enregistrer mon livre. L’homme me suis et nous attendons l’ascenseur ensemble, je devine son regard de pervers sur moi.
La porte s’ouvre, nous entrons, j’appuie sur ” 0 “, les portes se ferment mais l’ascenseur ne bouge pas, j’appuie à nouveau sur le bouton ” 0 ” mais rien ne se passe et la lumière s’éteint. Cette fois il soulève carrément ma jupe pour se régaler du spectacle.
Sans hésiter, il plonge sa main dans ma culotte pour vérifier et trouve ce qu’il cherchait.
Je sens sa main caresser et tripoter mon intimité, il est excité par sa découverte et je comprends qu’il a décidé de me baiser.
Je sens ma culotte descendre sur mes cuisses puis sur mes chevilles, l’homme la récupère et la met dans sa poche.
D’une claque sur mes fesses il m’ordonne d’écarter les jambes pour mieux voir mon intimité puis il sort sa bite pour se branler en même temps.
Là je n’ai plus aucun doute, il a bien l’intention de me baiser. Il me tripote à nouveau mais cette fois de façon plus autoritaire en me doigtant la chatte et en me malaxant durement les couilles, je gémis.
La lumière revient, l’ascenseur monte enfin, nous avons juste le temps de nous rajuster avant l’ouverture de la porte.. Des gens rentrent, nous sortons, il me prend le bras et m’entraîne dans les toilettes hommes. Il me pousse contre le mur, j’ai une jambe de chaque coté de la cuvette, il me trousse et viole ma chatte sans ménagement avec sa queue raide, il me pilonne durant de longue minutes puis finit par éjaculer dans ma chatte.
L’homme s’en va, je déroule du papier toilette pour m’essuyer le cul, je me rajuste et je sors des toilettes pour aller enregistrer mon livre à l’accueil.
FIN.
Oui je suis son jouet sexuel et il adore exhiber son jouet à de nombreuses occasions, n’hésitant pas à m’humilier, rien que pour le plaisir.
Vous êtes satisfaites mesdemoiselles ?
L’été il m’emmène à la plage pour que j’aille sucer des bites et me faire défoncer le cul, toujours muni de sa caméra, il aime me filmer et montrer fièrement ses vidéos à ses ami(e)s.
Heureusement qu’il n’oublie jamais de venir récupérer sa putain
Oui je fréquente une plage nudiste mais ça c’est une autre histoire
Des bites, encore des bites, toujours des bites, ma bouche et ma chatte sont mises à rude épreuve chaque jour mais Jean-Louis s’en fiche, du moment que l’argent rentre dans les caisses, le reste n’a pas d’importance. Les client(e)s profitent de moi sans retenue ni aucun tabou, je suis devenue un sex-toy pour obsédés sexuels et je me retrouve souvent dans des situations humiliantes.
Rien ne m’est épargné, même les transsexuels font appel à Jean-Louis pour se taper une pute.
Certains ont des fantasmes particuliers et n’hésitent pas à payer un peu plus cher.
Voilà comment se déroulent mes journées. Bientot les vacances et Jean-Louis m’a promis de m’emmener faire du camping pendant une dizaine de jours cet été pour changer d’air et se reposer, enfin je l’espère.
FIN.
Les affaires marchent bien, Jean-Louis est content et les caisses se remplissent. Ce n’est pas pour autant qu’il relâche la bride, bien au contraire, il répond favorablement à toutes les demandes. ” Si tu continue à bien travailler, je t’offrirai une semaine au camping de Palavas ” me dit-il en ouvrant sa braguette, ” Tiens suce moi un peu “, j’obéis et je le pompe jusqu’à ce qu’il gicle dans ma bouche, j’avale tout, comme d’habitude.
Jean-Louis accepte que je tourne des vidéos pornos moyennant quelques billets de plus.
Je prends des bites énormes dans ma chatte. Certains me loue à Jean-Louis pour me sous louer et faire de l’argent, comme cette vieille peau de bourgeoise.
Chouette idée salope.
Hé ben…..
Quelle famille !
Tous les samedis ??? On ne m’épargne rien, du moment qu’ils paient bien, ils peuvent faire de moi ce qu’ils veulent et ils ne s’en privent pas.
Et une double anale, une !! J’ai la chatte en feu quand je rentre le soir me changer avant d’aller aller faire le trottoir. Je rentre vers 04h00 du matin et je dois être prête à 09h00 pour aller chez les client(e)s.
A SUIVRE……
Depuis un moment déjà, Jean-Louis me considère comme un objet sexuel lui servant à assouvir ses fantasmes de vieux pervers. Il a donc décidé que je devrais être une source plus importante de revenus pour lui alors il passe des annonces pour vendre mes services en précisant ” No tabous “. Les réponses ne tardent pas à arriver en grand nombre et Jean-Louis doit jongler avec tout ça. Soit les client(e)s viennent à domicile vérifier la ” marchandise “, soit il m’exhibe en ville chaque samedi matin pour attirer le client. Il y en a pour tous les goûts.
Je prends ma dose de foutre matinale puis on sonne à la porte, Jean-Louis de rhabille et va ouvrir à la cliente, je garde son sperme dans ma chatte.
Bravo, belle mentalité.
Cette salope me tripote le clito, soupèse mes couilles comme si j’étais du bétail.
Je présente mon cul à la cliente, Jean-Louis me claque les fesses pour me dire d’écarter les jambes et la salope enfonce deux doigts dans ma chatte comme pour vérifier la marchandise.
Affaire conclue. En attendant le weekend, Jean-Louis m’exhibe dans les rues piétonnes de Castelnau pour remplir son carnet de commandes.
Parfois à poil ou sinon en lingerie.
si si Madame, il a le droit.
Ce salaud va même jusqu’à contacter des anciennes élèves de mon école pour me prostituer.
Chaque samedi j’y ai droit.
Cela dure toute la matinée et Jean-Louis a rempli son carnet de commandes.
A SUIVRE…..