Le conseil de classe approche et mon avenir dépendra de mon entretien avec le proviseur prévu jeudi matin. En attendant, je continue de me faire baiser par Jean-Louis qui adore me filmer avec d’autres filles.
Il ne se fait pas prier pour me prendre sauvagement sur le lit sous les yeux des deux filles qui se régalent du spectacle. Le lendemain après midi nous apprenons que la prof de géo est malade, j’ai donc une heure de libre et je décide d’aller à la rivière pour bronzer et me rafraîchir mais surtout pour espérer revoir Mariana et sa grosse queue, une jolie transsexuelle qui tapine sur le sentier des putes.Elle m’a déjà baisée plusieurs fois avec sa bite de cheval en me déchirant le cul à chaque fois
Je la retrouve au même endroit, moi entièrement nue et elle en bikini dont le bas de maillot semble très bien rempli
Mariana me connait bien et me présente sans tarder l’objet de mes désirs en écartant son string, laissant apparaître un pénis énorme d’une bonne trentaine de centimètres au repos.
Elle n’a pas tort hi hi hi !! Nous allons dans la rivière.
Oui c’est pour ça que je suis venue. Mariana s’installe sur un rocher plat en écartant ses cuisses pour me montrer son énorme membre pointé vers le ciel.
La tête entre ses cuisses, je suce sa grosse queue avec gourmandise, manquant de m’étouffer avec.
Je m’installe sur elle et j’écarte mes fesses avec mes mains pour que Mariana puisse plus facilement guider sa bite de cheval vers ma rondelle qui s’ouvre déjà d’elle même. Je m’empale sur sa bite et je descends lentement, gémissant de plaisir en sentant son membre s’enfoncer en moi en m’élargissant la chatte.
Après 10 bonnes minutes d’intenses vas et viens dans cette position, mon cul est complètement dilaté et Mariana me propose changer de position pour une levrette, elle sait très bien que c’est la position que je préfère.
Elle me laboure le cul sans ménagement pendant de longues minutes, j’ai l’impression que sa bite va me ressortir par la bouche puis finit par lâcher de grands jets de foutre chaud dans mon ventre. Je me rhabille et je la quitte pour retourner au pensionnat, je suis à la bourre.
Le jour où mon avenir se décide est arrivé, je suis convoquée chez le proviseur pour recevoir ma sanction. C’est sa secrétaire Françoise qui me reçoit.
Habillée comme elle est, m’est avis qu’elle doit souvent passer à la casserole la Françoise.
Je devine que c’est une coquine, je me laisse prendre au jeu et nous parlons de sexe
Cette salope commence à se déshabiller et me à me faire un petit numéro de charme hi hi hi !!
Quelle salope, j’en étais sûre.
Je la laisse me tripoter les couilles et mon clito. Après ce petit moment d’intimité, elle se rhabille car elle entend du bruit dans le bureau du proviseur.
Je me dirige vers le bureau du proviseur, je prends une engueulade monstre puis il se calme. J’aperçois une grosse bosse à travers son pantalon, ” Bon, si tu es une gentille fille, je passerai peut-être l’éponge pour cette fois ” me dit-il en posant une main sur ma cuisse et en la remontant jusqu’à mon entre jambes. N’ayant rien à perdre, je m’agenouille devant lui et je baisse son pantalon et son slip, découvrant une bite poilue d’assez bonne taille, je la suce tandis qu’il me prend la tête entre ses mains pour me baiser la bouche comme une poupée gonflable puis il se déshabille entièrement et m’entraîne sur son divan en m’indiquant la position à prendre, c’est à dire à quatre pattes le cul bien cambré et les cuisses bien écartées. Offerte devant ce vieux pervers, je sens sa main et ses doigts jouer avec ma rondelle et mon clito.
Je le suce à nouveau, sa queue durcit dans ma bouche puis il me demande de me retourner. Il me pénètre d’un coup sec et me lime sauvagement la chatte jusqu’à éjaculer à l’intérieur. Il se retire et me congédie, ” Allez, ça ira pour cette fois, retourne en cours ” me lance t-il. Le lendemain c’est le conseil de classe, ce salaud de proviseur m’a baisée et m’a balancée.
Effectivement, je termine la semaine et je suis renvoyée du pensionnat mais je ne suis pas la seule. Jean-Louis subit le même sort pour avoir profité sexuellement des filles. Il me propose d’habiter chez lui pendant quelques temps. Cela fait un an maintenant que j’habite chez lui, je suis devenue sa pute et je fais le trottoir pour lui rapporter de l’argent. Il me prostitue aussi par petites annonces ou dans les bordels, j’aime beaucoup ça et l’argent rentre bien.
Les filles veulent toujours connaître l’endroit de mes expériences canines et mènent leur enquête.
La pauvre, c’est vrai qu’elle n’en savait rien et personne ne découvrit jamais mon coin secret. Pendant ce temps, je continuais de soulager des garçons de leur sperme et de leur argent dans les toilettes ou dans les bois
Tout le monde était maintenant au courant de mon petit business dans les toilettes et les petits mots doux sur les tableaux à mon intention étaient quotidiens. C’était officiel, j’étais la pute du pensionnat.
Jusqu’au jour où l’une des profs fut intriguée par le bruit dans les toilettes. Il faut dire que cette fois-ci mon cul était mis à rude épreuve hi hi !!
Hummmm j’en connais un aurait bien voulu être également invité Le proviseur fut informé et je savais que la sanction allait tomber bientôt. Cette salope de prof de math se permit de m’humilier en classe et dans la salle des profs.
C’est ça, régale toi salope.
Heureusement que ses collègues étaient là, sinon elle aurait pris un malin plaisir à me faire gicler cette salope. Cette dernière m’ordonna de continuer mon exhibition humiliante, ” Allez montrer votre petite queue et vos fesses de putain aux femmes de ménage dans leur local près de la cage d’escaliers ” me lança t-elle d’un air dédaigneux. Je pris donc le chemin vers les femmes de ménages qui se régalèrent tout autant.
Cette salope me branle le clito, je suis au bord de l’éjaculation puis elle me demande de me retourner pour admirer mon cul mais elle ne se contente pas de l’admirer et je sens ses doigts fouiller mon intimité.
Elle me libère en me traitant de petite putain, je m’en fiche et je rejoins Jean-Louis dans son appartement. Il est déjà occupé avec une nouvelle leçon particulière et m’invite à participer, ce que je fais avec plaisir.
Mais oui j’en suis sûre hi hi hi !!
La nouvelle circule partout et tout le monde cherche à en savoir un peu plus à ce sujet.
Et paf !! ça c’est envoyé !! Des filles mènent leur enquête pour découvrir mon endroit secret mais sans succès.
C’est ça, allez voir là-bas si j’y suis, pendant ce temps là je vais rejoindre Jean-Louis en salle de classe pour une petite baise
Le sentier des putes se trouve près de la rivière des salopes, dans le petit bois juste à coté du pensionnat. Les putes viennent tapiner le samedi soir et le dimanche matin.
Pendant que je me fais tringler par jean-Louis dans sa salle de classe, cette salope de Karen continue de lire mon journal.
Karen replace ensuite mon journal dans la position où elle l’avait trouvé et quitte discrètement la salle de classe. Cette salope a du mouiller sa culotte en lisant mon récit, à condition qu’elle en ait mis une. La journée se termine et les élèves sont dans leurs chambres. Certaines ” révisent ” en solo tandis que d’autres se font ” aider ”
Celle-ci avait même testé ” l’entrée des artistes ” hi hi !! Comme elle avait raison
Ces deux là préféraient les joies du lesbianisme, hummm les coquines
Quant à moi, je fus invitée par Amandine pour une douche coquine à deux et pour se donner du plaisir buccal et anal à l’aide de sex-toys en tous genres jusqu’au milieu de la nuit
Jean louis n’était pas en reste avec ses cours parti-cul-liés hi hi !!
Les élèves sont de plus en plus bavards en classe, on se raconte les potins de la semaine ou du weekend et cela a le chic pour exaspérer les profs comme par exemple Mlle Le Garrec, la prof de français. qui doit se taper des petits jeunes à l’occasion, j’en suis certaine. Comment résister à cette créature
Elle essaie de faire preuve d’autorité pendant ses cours mais devant le proviseur elle devient obéissante et docile, de crainte de perdre son poste et je ne pense pas qu’elle soit la seule dans ce cas là.
Comme si elle avait le choix la pauvre Françoise, la secrétaire, ne doit pas être mieux logée, obligée de porter des jupes courtes et des bas fantaisie.
Ca sent la turlute sous le bureau tout ça hi hi hi !! Quant à moi, mes sanctions et punitions pour mon comportement s’accumulent de façon assez considérable.
Si j’étais à sa place je m’y mettrais tout de suite parce qu’il va y en avoir d’autres hi hi !!
Je vois Jean-Louis de plus en plus souvent ( on s’appelle par nos prénoms maintenant ) et je raconte nos rencontres dans mon journal intime mais un jour je l’oublie en salle de classe et cette salope de miss gros lolos de Karen tombe dessus.
Ah, oui, parfois je vais me balader dans le petit bois juste à coté pour ” m’amuser ” avec mes petits amis
Ce jour là je n’avais pas vu que j’avais une spectatrice et la nouvelle se répandit comme une traînée de poudre.
Pendant les beaux jours, moi et quelques filles moins timides que les autres, nous offrons nos petits culs au soleil,c’est très agréable de sentir ses rayons chatouiller nos intimités et ça permet aux garçons de se rincer l’œil en cachette
Monsieur Jean-Louis, le prof d’anatomie et moi passons de plus en plus de temps ensemble pour des parties de baise de plus en plus intenses, il me baise discrètement et rapidement dans le parc pendant les inter-cours ou bien on se donne RDV après les cours à l’abri des regards; il m’invite parfois le weekend chez lui pour des travaux pratiques de classe supérieure si vous voyez ce que je veux dire hi hi hi !!
Il adore me remplir le cul et branler mon petit clito pour me faire gicler en même temps que lui Il a une autre passion qui est la vidéo porno. Un samedi il me surprend dans sa salle de bain avec sa caméra à la main et nous partons pour un petit jeu uro, hummmmm j’ai adoré
Je commence a avoir un bon petit paquet d’argent grâce à mes prestations buccales et anales mais je n’ai pas envie de me le faire voler, je décide de le confie à Mr Jean-Louis pour plus de sécurité. Il commence à m’acheter de la lingerie de pute pour nos ébats sexuels du weekend J’étais devenue sa pute attitrée, son vide couilles et même plus encore. Il me traitait en pute soumise et j’adorais ça. Bien sûr, il continuait de donner des cours particuliers chez lui certains soirs pour des filles assez naïves pour se rendre chez lui et il en profitait le cochon hi hi hi
Inutile de vous préciser comment ça se terminait à chaque fois
Tout ceci aurait pu continuer pour le bonheur de tous mais c’était sans compter sur des fouineuses qui mettent leurs nez partout.
Les jours se suivent et les mauvaises notes aussi sauf en anatomie / éducation sexuelle, il faut dire que j’ai un bon prof Il me fait aimer le sexe et m’apprend des pratiques et des positions sexuelles qui m’excitent beaucoup. J’ai raccourci ma jupe au maximum, évitant tout de même de laisser dépasser mon petit clito car je ne mets pas souvent de culotte On peut quand même voir le début de ma raie des fesses et les garçons ne se privent pas pour se rincer l’œil ou pour me mettre une main aux fesses sans se douter de mon petit extra entre mes jambes hi hi !! C’est Julien, 16 ans, qui a perdu son pucelage avec moi, il a été surpris quand je me suis mise nue mais en même temps cela l’a excité et il m’a baisée comme un fou.
Finalement; c’est seulement avec deux filles qu’il revient me baiser le mardi suivant et cette fois il ne se retire pas avant d’éjaculer. Les deux filles prennent sa place et me labourent le cul sous les yeux de Julien.
Ma réputation de Marie couche toi là se répand comme une traînée de poudre et c’est alors qu’il me vient une idée : me faire baiser contre de l’argent, ce qui me permettrait d’acheter de la lingerie et des tenues sexy. Je décide de fixer la fellation à 10 € et mon anus à 30 €. Les garçons ont d’abord hésité à dépenser leur argent de poche mais se sont vite décidés par la suite. Les affaires commencèrent à bien marcher, je recevais dans ma chambre le soir mais aussi dans les toilettes des garçons entre midi et deux.
Avec l’argent gagné, j’achetais des préservatifs et je commandais des dessous de putain sur Internet, ce qui excitait encore plus les garçons et les poussait davantage à venir me voir pour se vider les couilles.
La poubelle des toilettes était pleine de capotes chaque jour et les femmes de ménage ont commencé à se poser des questions. Il fallait que je commence à faire attention. Mon petit business parvint aux oreilles de Mr Jean-Louis, le prof d’anatomie, ce dernier me félicita de mon initiative et nous commencions à nous entendre de mieux en mieux tous les deux Je pense qu’il avait une idée derrière la tête me concernant. Quand il ne faisait pas cours et qu’il ne me baisait pas, ce vieux cochon donnait des cours de travaux pratiques le soir dans son logement de fonction à des filles, soit-disant pour élargir leurs connaissances en anatomie et pratiques sexuelles, sauf que ce n’était pas leurs connaissances qu’il élargissait mais leurs orifices. Les pauvres se laissaient berner à chaque fois.
Attention, certaines filles savaient pertinemment quel genre de cours privé il donnait et prenaient RDV en toute connaissance de cause, ce qui lui valut une réputation de vieux pervers vicieux au sein de l’établissement Mais qui lui jetterait la première pierre ? Certaines filles viennent spécialement le voir pour lui sucer la queue et se faire baiser !!
Mais c’est mon petit cul qu’il préfère et aussi mes petites couillettes qui se balancent quand il m’encule chez lui Il me donne donc RDV dans sa salle de classe un vendredi soir après son dernier cours.
Avant d’être dans la vie active, j’étais en pensionnat en Bretagne, dans le Morbihan. Education stricte, uniforme obligatoire pour tout le monde. Les cours étaient dispensés en commun pour les filles et les garçons sauf pour certaines matières comme par exemple anatomie / éducation sexuelle, cette dernière était dispensée pour les garçons par Monsieur Jean-Louis, un homme proche de la retraite, plutôt bel homme mais ayant une réputation de pervers et queutard au sein de l’établissement. Je vous rassure il n’était pas le seul à profiter de l’isolement de cet établissement en pleine campagne bretonne pour avoir du plaisir charnel à l’abri de tout regard extérieur Le proviseur lui-même ne se privait pas de son autorité pour obtenir se qu’il voulait des profs féminins et celles-ci auraient tout accepté pour garder leurs postes, comme par exemple Françoise, sa secrétaire, 38 ans, ou bien Mademoiselle Le Garrec, 27 ans et prof de géographie.
Et que dire de la prof de mathématiques, Madame Gueirero Da Silva, on n’a jamais su si elle était marié ni si c’était une vraie femme, à par le proviseur j’imagine Bref, ce pensionnat ressemblait plus à un lupanar qu’à un établissement scolaire et cela tombait bien car votre fidèle Nathy n’était pas une élève modèle, loin de là hi hi hi !!
Dès les premiers contrôles, je fus élue élève la plus nulle du pensionnat par les profs, il faut dire qu’il y avait de quoi
La pauvre a pris sa retraite depuis
Il y avait tout de même une matière dans laquelle j’étais bonne, ” Anatomie / Education sexuelle “, il faut dire que je recevais des cours particuliers avec Monsieur Jean-Louis qui m’avait repérée dans les couloirs, il faut dire que j’avais raccourci ma jupe écossaise de ” quelques ” centimètres et que mes fesses étaient à moitié visibles hi hi !! Ainsi donc il me recevais dans son bureau pour m’apprendre comment pratiquer une bonne fellation, une bonne pipe quoi Il a vite vu que j’aimais ça et on a commencé à se voir plus souvent en secret.
Pendant ce temps, les filles et les garçons découvraient les joies du sexe et certaines filles ont même pris des chemins de traverse hi hi
De retour à la maison, Jean-Louis me conduit à la cave et me lave au jet d’eau froide grâce à un tuyau d’arrosage, ” Voilà, une putain toute propre pour demain ” lance t-il, puis il me fait marcher à quatre pattes, encore toute trempée, vers une cage en bois qu’il a fabriquée, ” Allez rentre là dedans ma pute “. Je rentre dans la cage tout juste assez grande pour que je m’y tienne accroupie, il s’en va en éteignant la lumière, je reste dans ma cage, dans le noir et le froid. ” Bonne nuit ma pute !! “.
Je n’ai pratiquement pas dormi à cause du froid, j’entends mon maître Jean-Louis descendre l’escalier, il allume la lumière et s’approche de ma cage, tenant un flacon en plastique à la main.
Tout en pissant dans le flacon, il m’annonce le programme de la journée.
Je bois sa pisse chaude devant lui puis il me fait sortir de la cage et me conduit au rez de chaussée, une tenue de pute m’y attend. ” Enfile ça, on va se promener au bois, y’aura peut-être quelqu’un pour te défoncer le cul “. J’enfile la tenue et il m’emmène vers le bois des prostituées.
Il me promène comme un animal et quelques clients sont intéressés pour me baiser sous les regards incrédules des autres prostituées. Nous rentrons, retourne dans ma cage après m’être totalement déshabillée. Quelques minutes plus tard Jean-Louis me donne une gamelle de riz dans laquelle il urine devant moi, ” Tiens, il est meilleur comme ça ” me dit-il en riant. Je mange le riz et attends son retour. Il revient chercher la gamelle vide et me fait sortir de ma cage, j’enfile à nouveau ma tenue de pute et nous partons voir Ginette.
Cette vieille peau doit avoir l’habitude de se faire tringler par tous les trous par mon Maître, quant à moi, je prends connaissance de ce qui m’attend.
Malheureusement pas ma pauvre Nathy ;-(
La vieille truie part avec Jean-Louis tandis que son ouvrier vient me chercher pour me conduire aux chiens, il tient son caméscope à la main. Je me fais grimper dessus et féconder 32 fois, le temps est interminable, je suis pleine de foutre canin. Les deux ” tourtereaux ” reviennent, Jean-Louis me récupère et nous rentrons. En chemin il me dit ” Allez, un bon lavage au jet d’eau et tu vas mettre ta tenue de soubrette, j’ai hâte de les voir te baiser ma pute “.
La soirée promet d’être animée.
FIN.
Tout en conduisant, Jean-Louis caresse ma cuisse gainée de bas et remonte sa main jusqu’à mon entrejambe, d’un geste autoritaire il soulève ma jupe, ” Ecarte tes cuisses que je puisse te tripoter un peu ” me dit-il. J’obéis et j’écarte mes cuisse, sa main enserre mes couilles, il me les malaxe puis commence à jouer avec mon clito qui commence à durcir. Il ne va pas plus loin dans son tripotage car nous arrivons à la ferme, une jeune femme nous accueille, elle est plutôt vulgaire.
Je me dirige vers l’écurie tandis que Jean-Louis et cette pimbêche vont vers la grange à foin. J’enlève tous mes vêtements et me présente, nue comme un vers, à Mme Berthe qui est très occupée.
Les seins à l’air et une main sur sa chatte, la vieille suce la bite de son cheval, sa bouche est juste assez grande.
Puis elle daigne s’intéresser à moi.
J’obéis encore une fois et me voici en train de lui bouffer la chatte tandis qu’elle branle l’énorme pénis. C’est ensuite que les choses se compliquent, je comprends pourquoi je suis ici quand Mme Berthe m’ordonne de coller ma croupe contre cet engin.
J’écarte mes fesses autant que je peux pour faciliter la pénétration de ce truc énorme dans mes entrailles guidé par la main de la vieille peau, il finit par rentrer en m ‘arrachant un cri de douleur. J’obéis à ses ordres et je sens ce pieu continuer a s’enfoncer doucement dans mon cul, j’ai l’impression qu’il va exploser.
Je fais des mouvements de va et vient, encouragée par Mme Berthe et je commence à prendre du plaisir en sentant cette bite coulisser dans mes entrailles, j’aimerais que cela dure encore un peu mais l’étalon lâche ses flots de semence dans mon ventre que je sens se remplir. Mme Berthe retire la bite de mon cul et y enfonce immédiatement trois doigts pour servir de bouchon anal. ” Garde le un peu espèce de pute, je veux que tu le sentes bien dans ton ventre ” me dit-elle. Comment ne pas le sentir, je dois bien avoir un bon litre de foutre dans le cul !! Elle retire enfin ses doigts et j’évacue le sperme chevalin dans un long jet blanc. Elle me laisse partir et je me retrouve à l’entrée de l’écurie ou l’on m’attend.
Je montre ma chatte béante à la pimbêche et je vais sucer la bite de cette créature peu commode. Jean-Louis arrive juste au moment où elle décharge dans ma bouche. Je ramasse mes vêtements sans les mettre et je monte dans la voiture. Sur le chemin du retour, Jean-Louis m’apprend qu’il m’a aménagé une nouvelle pièce et qu’elle se trouve à la cave. Je ne suis pas impatiente de la découvrir.
A SUIVRE ……
Le cul plein de foutre, je me change et enfile une tenue de pute comme me l’a ordonné Jean-Louis mon mac et nous sortons, ma jupe couvre à peine la moitié de mes fesses nues et laisse apparaître le bout de mon clito. Les passants n’en croient pas leurs yeux Nous prenons le bus et les passagers ont leurs yeux rivés sur mon cul. Une jeune femme sort alors son appareil photo.
Il m’exhibe comme une vulgaire bête de foire et m’ordonne de me pencher pour satisfaire la jeune femme.
J’obéis et me retourne en soulevant ma jupe pour montrer ma petite queue pour le plus grand plaisir de la photographe.
Nous descendons en compagnie de la photographe et nous entrons dans les toilettes publique dans lesquelles Jean-Louis a l’habitude de m’emmener pur propose ma bouche et mon cul aux types qui viennent pisser contre de l’argent. Ce matin là il y avait un client.
Le type ‘écarte les fesses pour permettre à cette salope de prendre ma chatte et mes couilles en gros plans tandis que Jean-Louis a déjà enlevé son pantalon et son slip pour le plus grand plaisir de la salope qui n’en espérait pas tant. Le type me bourre la chatte, penchée contre les urinoirs tandis que Jean-Louis défonce le cul de la jeune salope. Ceci étant fait, Jean-Louis m’emmène déjeuner dans un snack-bar peu recommandable pour montrer sa putain aux clients plutôt louches. Nous prenons place au comptoir sur des tabourets pivotants, Jean-Louis commande deux croque-monsieur tandis que les clients attablés derrière nous matent mon cul. Un nouveau clients arrive et s’installe sur le tabouret juste à ma droite, il regarde mes cuisses largement découvertes. ” Ecarte tes cuisses, montre lui ” me dit Jean-Louis, j’obéis et j’ouvre mes cuisses, le type pose alors sa main gauche sur ma cuisse droite et remonte jusqu’à mon clito. Il est d’abord surpris puis il me sourit en me le tripotant. Il me demande si je suce, je réponds que oui, Jean-Louis lui dit alors qu’il peut me baiser dans les toilettes du sous-sol si il veut, moyennant finances, l’homme accepte et se dirige vers l’escalier menant aux toilettes, ” Suis le ” m’ordonne Jean-Louis. Je quitte mon tabouret et rejoins l’homme dans les toilettes qui se résument à une simple cabine avec une cuvette de WC à l’émail fissuré et dont la porte ne ferme plus. L’homme a déjà son pantalon sur ses chevilles, je lui indique le tarif, il me paie, je lui donne une capote, je le suce et il m’encule sans ménagement, penchée contre la chasse d’eau, il gicle sur mes fesses et remonte au bar, je rejoins Jean-Louis et lui donne l’argent. Nous déjeunons et tout en mangeant, il me dit ” Après on va aller voir Mme Berthe, une bonne amie à moi, elle habite dans une ferme, je l’ai appelée pour lui dire qu’on venait la voir “. Nous prenons un café puis nous prenons le chemin de la ferme, je me demande ce qui m’attend encore.
A SUIVRE ……