Un samedi soir, Jean-Louis mon cochon pervers décide de m’emmener au bois de Boulogne, terrain de chasse des transsexuelles, histoire de voir si je peux lui rapporter un peu plus d’argent. ” Nathy, ma pute, ce soir on va au bois de Boulogne, tu vas tapiner un peu là-bas pour voir si t’as du succès, tu prends juste ton manteau léopard et à poil en dessous, ça suffira pour te faire baiser “. J’obéis et enfile mon manteau sans rien dessous. Nous sortons, il fait seulement 4°C dehors et mon manteau ne couvre pas mes fesses ni mon clito, ce dernier n’est déjà pas gros en temps normal mais au contact de l’air glacial il avait l’air d’un petit vermicelle. ” T”inquiètes ma grosse pute, tu vas sûrement trouver quelqu’un pour te le réchauffer ton p’tit clito, et ton cul aussi ah ah ah !! ” Au bout d’un quart d’heure de route nous arrivons sur place, quelques putes sont sur le trottoir et abordent les voitures qui avancent au ralenti.
Jean-Louis me dépose sur le trottoir. ” Vas dans le bois et montre bien ton cul ” me dit-il. Je m’enfonce dans le bois à la recherche d’éventuels clients, mes fesses et mon clito sont gelés. Je finis par tomber sur des ” biches ” pas du tout frileuses qui m’ont alpaguée en me menaçant. ” Hey la !! T’es pas d’ici toi, qu’est ce que tu viens nous voler nos clients !! ” Un attroupement se forme et j’ai plusieurs biches avec leurs bites à l’air qui me toisent. “Si tu veux bosser ici, il va falloir passer le test d’entrée salope !! ” lance l’une d’entre elles tandis qu’une autre se charge de me débarrasser de mon manteau, je me retrouve donc dans la même tenue qu’elles c’est à dire en tenue d’Eve ( ou d’Adam ) Je demande en quoi consiste le test d’entrée et je ne tarde pas à avoir la réponse, il consiste à sucer leurs bites et à me faire défoncer le cul par toutes ces ” dames “.
Après avoir subi les premiers outrages, Jean-Louis vient se joindre aux festivités et mon test d’entrée se prolonge jusqu’à 04h00 du mat, le temps à toutes les transsex du bois de me passer dessus.
A la suite du défonçage de mon cul, j’obtiens l’autorisation de tapiner au bois de Boulogne, dans lequel je remporte un franc succès, pour le plus grand plaisir de Jean-Louis.
Les clients se font de plus en plus nombreux et plus exigeants jusqu’à vouloir me pisser dans le cul.
J’en prends plein les fesses et plein la bouche, de jour comme de nuit, ça n’arrête pas. A peine le temps de récupérer entre chaque client.
Les ” biches ” du bois de Boulogne ont fini par m’accepter et nous sommes devenues copines
Les affaires marchent à merveille et Jean-Louis est aux anges, l’argent coule à flots dans ses caisses mais aussi dans les caisses de Cora. Ceci a pour conséquence de provoquer la jalousie de certains autres souteneurs comme Norbert, dit ” Le frileux ” car il a toujours les mains dans les poches, ainsi que sa femme et sa fille qu’il n’a aucun scrupule à les mettre sur le trottoir. Ce dernier a déjà menacé Jean-Louis en lui disant de quitter Paris.
Une semaine ? La pauvre, ça doit être du propre à la maison, quelle famille lol !!
Hé oui, Jean-Louis n’est pas venu à Paris avec sa pute pour se laisser impressionner par un jeunot, il informe tout de même Cora de la situation.
A SUIVRE …