Une semaine a déjà passé et l’argent que je rapporte remplit bien les caisses de Jean-Louis, il faut dire que je donne pas mal de ma personne en travaillant sur le trottoir mais aussi dans la maison close de la mère Cora en échange du gîte et du couvert.
Jean-Louis m’avait loué une voiture pour que je puisse changer de quartier assez rapidement car ma présence ne plaisait pas à toutes les autres putes, ce qui me permettait de trouver des endroits plus tranquilles.
J’ai commencé à être connue dans la capitale et je rapportais plus d’argent à Jean-Louis grâce à mon “petit extra” entre les jambes Mais cela ne plaisait pas à tout le monde car de plus en plus de clients préféraient venir me baiser plutôt que les autres putes.
Ah oui, les fameuses ” biches ” du bois de Boulogne Effectivement, j’y allais travailler de temps en temps mais avant de pouvoir le faire, j’ai du me faire accepter par ces créatures et ça c’est une autre histoire. Pendant ce temps, Jean-Louis allait parfois prendre du bon temps avec quelques putes lorsqu’il allait en reconnaissance du terrain, comme il disait.