Quand on sortait en ville pour faire les courses ou faire du shopping, je devais toujours être habillée ” provoc ” et qu’on puisse voir mes fesses, nues bien sûr, hors de question de porter une culotte ou même un string, non, il fallait que tout le monde puisse voir le cul de sa putain et parfois son clito. Combien de fois il me baisait en public devant les passants, combien de fois il m’emmenait dans des lieux publics pour me faire baiser sous ses yeux. J’étais devenue son jouet sexuel, son défouloir, son gagne-pain mais j’acceptais d’être soumise car il me donnait tellement de plaisir quand il me bourrait le cul sauvagement, en privé ou bien en public.
Tous les samedis c’était au supermarché dans les cabines d’essayages, je devais attendre qu’on vienne me baiser.
Ensuite j’ai commencé à tapiner dans les endroits que Jean-Louis avait repéré, d’abord sur le trottoir, parmi d’autres putes qui ne me regardaient pas d’un bon œil du fait que je travaillais cul nu et clito à l’air mais elles ont fini par m’accepter et certaines sont devenues des amies.
Tous les endroits étaient bons pour que je ramène de l’argent. ” Y a un resto routier à 20 km d’ici, tu vas y aller demain pour sucer de la bite de routier et te faire ramoner la chatte, y’a du fric à se faire là ” m’a-t-il dit, et j’y suis allée, j’ai même eu des cients réguliers qui s’arrêtaient à ce resto car ils savaient qu’ils pourraient se vider les couilles avant de repartir, ils m’avaient donné un sobriquet, “Miss p’tite kékette ” C’était mignon et surtout ils savaient qu’ils en auraient pour leur argent avec moi
Mais cela ne suffisait pas à Jean-Louis. Pour lui, je devais lui rapporter encore plus et il eu une idée pour ça.
A SUIVRE ……
Quel plaisir de suivre vos aventures !!!
Mille mercis