J’ai donc commencé à faire le trottoir, Jean-Louis m’ayant acheté des fringues et de la lingerie de pute, ” Quand tu gagneras assez, ça sera à toi de te payer tes fringues ” me dit-il. Au début je ne savais pas trop où aller pour tapiner mais Jean-Louis prenais sa voiture pour aller repérer les endroits ” chauds “. Il a aussi fixé mes tarifs, ” C’est 20 € pour ta bouche, 50 € pour ton cul avec capote et tu ne fais pas de tarif de groupe “. Mes premières nuits de tapin rapportèrent un peu d’argent à Jean-Louis et je commençais à être connue dans les environs, je tapinais même de jour, seule ou avec d’autres filles rencontrées sur place mais pour lui c’était insuffisant, il fallait que je lui rapporte plus d’argent.
C’est alors qu’il eut une idée ( géniale selon lui ), ” Tu vas tapiner cul nu ma salope, comme ça ils verront ton cul mais aussi ton petit extra entre tes cuisses, ça va les exciter “. A partir de ce moment là, j’allais faire la pute le cul et le clito à l’air, été comme hiver, de jour comme de nuit et comme l’avait prévu Jean-Louis, je faisais beaucoup plus de clients.
Tous les endroits étaient bons pour me faire tringler et sucer des queues pour de l’argent, argent qui commençait à couler à flot dans les caisses de Jean-Louis qui était devenu mon mac officiel, ” C’est bien ma pute, continue comme ça ” me disait-il. Au fur et à mesure il devenait plus pervers et plus vicieux, il aimait m’exhiber et m’humilier dans des endroits public comme le tramway de Castelnau par exemple. Je me laissais faire comme une bonne pute soumise sous les regards ébahis des autres passagers.
J’étais devenue non seulement sa pute et son gagne pain mais aussi son objet sexuel qu’il utilisait où bon lui semblait, surtout dans les transports en commun, devant tout le monde, c’était son truc et cela avait commencé à m’exciter aussi.
J’étais devenue sa chose et il en profitait pleinement ce cochon mais je dois avouer que je prenais aussi ma part de plaisir dans tout ça et mon statut de pute soumise me convenait parfaitement même si des fois Jean-Louis était un peu dur avec moi et m’obligeait à faire des choses pas très racontables une fois qu’on était tous les deux à la maison. Ce qu’il aimait, et qu’il aime toujours, c’est de me baiser en écolière
Quand je veux lui faire plaisir je m’habille comme ça et……..résultat garanti hi hi !! Mais il veut encore plus d’argent et je vais devoir payer encore plus de ma personne.