Ca leurs a pris comme ça, à Fabienne et Jean-Louis, ils ont décidé de me punir pour une raison inconnue. Fabienne me propose d’aller visiter un endroit soit disant super pour faire des rencontres. Arrivées sur place, je découvre une ancienne gare désaffectée. A l’intérieur, Fabienne me suggère de me déshabiller pour faire quelques photos, pourquoi pas. Je me retrouve nue et Fabienne me pousse contre un mur en sortant des liens de sa poche ainsi qu’une barre d’écartement télescopique de son sac. Je lui demande ce qui lui prend mais elle m’attache au mur et m’écarte les jambes pour installer la barre, je me retrouve offerte comme une soumise. Fabienne me caresse les fesses puis me les claque durement, je lâche un cri, puis elle prend mes couilles dans sa main et commence à serrer, ” on va bien s’amuser tu vas voir ” lance t-elle en me claquant encore les fesses. Elle s’éloigne et se dirige vers la porte d’entrée, j’entends des conversations et des rires, je tourne la tête pour voir qui c’est. Il y a des femmes et des hommes, je me demande ce qu’il va m’arriver. D’autres arrivent encore, il y a bientôt une vingtaine de personnes à l’intérieur, les hommes se mettent nus tandis que les femmes se changent et enfilent des uniformes ou des tenues de salopes. Fabienne fait partie du lot et revêt une tenue de Dominatrice avec une cravache en accessoire, elle approche une chaise et se place derrière moi, je sens le bout de sa cravache me caresser les fesses et je commence à comprendre ce qu’il va m’arriver. Fabienne inscrit quelque chose sur mes fesses à l’aide de son rouge à lèvres mais je ne peux pas voir ce qu’elle écrit, puis la séance commence.
Elle s’amuse à tapoter mes couilles avec sa cravache.
Je sens des mains me tripoter l’entrecuisses et les fesses puis les claques commencent à fuser. On me met un collier et une laisse.
Mes fesses commencent à me faire mal mais ça ne leurs suffit pas.
Fabienne ne rate rien du spectacle.
Le cul en feu, je gicle dans la main de la femme.
La machine ? Quelle machine ? Je ne tarde pas à le découvrir, j’entends des bruits de matériel derrière moi et bientôt quelque chose qui force l’entrée de ma chatte. C’est froid et gros.
La machine se met en route et le gode commence ses va et vient, je gémis, la femme augmente un peu la vitesse ce qui m’arrache des cris.
J’ai la chatte défoncée mais personne n’en a rien à faire et Fabienne me cravache à nouveau le cul tandis que Jean-Louis fait son entrée, toujours muni de sa caméra. Vas y mon cochon, régale toi. Je croyais qu’ils en avaient terminé avec moi mais je me trompais. On enlève la machine, j’ai la chatte bien dilatée, Jean-Louis fait un gros plan de mon trou béant. J’entends parler derrière moi, je vais pour tourner la tête mais Fabienne me gifle, ” regarde devant toi salope ! ”
Après le douzième j’ai arrêté de compter. Du foutre plein la chatte, sur les fesses et les cuisses on me détache enfin. Fabienne ramasse mes fringues et les met dans un sac, m’interdisant de me rhabiller, ” Tu feras le voyage retour à poil salope “. Je monte entièrement nue dans la voiture de Jean-Louis, le cuir du siège chauffé par le soleil brûle mes fesses déjà écarlates. ” Alors salope, ça t’a plu ? Ah ah ah !! Vendredi je t’emmène chez René, un vieil ami à moi, il est agriculteur, tu verras il est sympa “.
Dans la bouche de Jean-Louis, le mot sympa peut signifier beaucoup de choses !
A suivre hi hi hi !!