Elle s’appelle Olga, c’est ma Maîtresse trav avec une belle queue. Elle est sévère, vicieuse et perverse, elle ne ménage pas ses efforts pour me rabaisser et m’humilier, en privé ou en public. Elle m’utilise comme un objet sexuel pour assouvir ses fantasmes, se vider les couilles, me faire tapiner et lui rapporter de l’argent, elle passe des annonces dans les journaux spécialisés pour me louer à la journée ou à la semaine. C’est elle qui choisit mes tenues et elles sont toujours très provocantes, souvent ras du cul et parfois même fesses nues. Je m’occupe de la bonne tenue de l’appartement et quand ma Maîtresse reçoit des invités, je dois revêtir ma tenue de soubrette fesses nues, en signe de soumission à ma Maîtresse, elle leurs proposent même de me baiser. Elle m’emmène dans divers endroits, souvent peu recommandables pour faire la pute et ramener de l’argent, elle dit que je ne suis bonne qu’à ça de toute façon.
Bien sûr qu’elle me baise bien, et même plusieurs fois par jour. A force d’être presque constamment le cul et le clito à l’air, on finit par me reconnaître dans le milieu du sexe.
Oui je suis sa putain. Lorsque je rentre à la maison, je dois lui présenter la recette du jour ou de la nuit, elle met l’argent dans un coffre et viens vers moi, ” T’as bien travaillé, vas te laver le cul, j’ai envie de te baiser “, ma journée n’est pas complètement terminée. Le lendemain, comme tous les matins, je suce ma Maîtresse et j’avale son sperme, ” C’est bien ma pute “, puis elle me dit qu’aujourd’hui je vais travailler entièrement à poil. Elle me conduit vers une nouvelle destination à une cinquantaine de kilomètres.
Nouvelle humiliation, me faire baiser nue dans les toilettes d’une station service. Arrivés sur place, je descends de la voiture et me dirige rapidement vers les toilettes de la station, une main devant, une main derrière mais pas assez rapidement car un couple qui s’arrêtait faire le plein d’essence m’aperçoit. Je rentre dans les toilettes hommes où ça sent bien la pisse. Je me crois sauvée mais le couple m’a suivie. Je leurs indique les tarifs. La femme semble être une grosse cochonne et dit à son mari ” Vas y mon chéri, je te l’offre, elle jette les billets dans l’urinoir et son mari pisse dessus, ” Tiens salope, tu iras les récupérer ” dit-il en riant puis il s’intéresse à mon cul.
Il me laboure le cul pendant que sa femme prend des photos puis il finit par jouir sur mes fesses. Le couple s’en va, ils préviennent les autres clients avant de quitter la station service, ” hé, si vous voulez il y a une pute dans les toilettes hommes “. Je n’attends pas longtemps avant de recevoir de la visite.
Après avoir servi de vide couilles et d’urinoir, Maîtresse Olga revient me chercher vers les 02h30 du matin, je lui tend la liasse de billets, ” C’est bien ma pute, allez on rentre “.
Tu es bien une grosse salope ,j’aimerais tapiner avec toi ma salope demande a ta maîtresse de me prendre comme pute des bois