Quand je ne suis pas sur le trottoir, je m’occupe de l’appartement, tout doit être nickel, mon cul aussi et en profondeur car elle a des envies soudaines de me sodomiser à tout instant donc mon cul doit être propre toute la journée. Pour la sucette c’est plusieurs fois par jour et sans culotte sinon je prends une correction.
Hé oui, je n’ai pas le droit de porter de culotte, c’est la règle, et si jamais ma Maîtresse me voit en porter une, alors elle m’envoie en stage de correction dans des maisons spécialisées. Pendant que je suce sa queue elle me dit qu’elle a passé une annonce pour me louer contre de l’argent, à la journée ou à la semaine, ” J’ai beaucoup de réponses ma pute, tu vas devoir mettre les bouchées double ” me dit-elle en prenant ma tête à deux mains et en me baisant la bouche.
Son carnet de rendez-vous est déjà plein dès le deuxième jour, ” Tu vas être ma poule aux œufs d’or ma salope ” me dit-elle en giclant dans ma gorge, ” Allez avale salope ”
Je commence à faire le ménage et vers 10h00 du matin on sonne à la porte, ma maîtresse va ouvrir et laisse entrer une femme d’un certain âge qui est venu vérifier la ” marchandise “.
Une semaine avec ce couple de vieux vicieux, je peux m’attendre à tout. Ma Maîtresse fait des promos aussi, juste histoire de fidéliser la clientèle.
Elle m’envoie aussi dans des soirées un peu spéciales dans lesquelles mon cul est mis à rude épreuve.
Des femmes qui désirent assouvir leur désir de domination. Ma Maîtresse leurs demande un peu plus cher pour ce genre de pratique.
Lorsque je revient à la maison j’ai le cul défoncé, je donne l’argent à ma Maîtresse, elle le met dans son coffre, ” C’est bien ma pute, t’as bien bossé, vas faire la bouffe maintenant “.
Les affaires sont florissantes pour ma Maîtresse, je rentre tard le soir ou tôt le matin, cela dépend si elle m’envoie travailler en journée ou de nuit. Je commence à être bien connue dans les quartiers chauds et le bouche à oreilles fonctionne bien alors ma Maîtresse a décidé d’augmenter les tarifs et d’autoriser les clients à des pratiques sexuelles un peu ” spéciales “.
Pendant ma journée de repos j’aime me mettre au balcon dans la matinée pour voir le temps qu’il fait et sentir le vent sur mon clito et mes petites couilles lorsque j’ouvre ma robe. Maîtresse Olga n’est jamais loin de moi pour me surveiller et me rappeler ce que je suis.
Oui, il est toujours là ce gros cochon avec ses jumelles, parfois accompagné de sa fille qui ne vaut pas mieux que lui.
J’obéis sous les coups de baguette sur mes fesses, je bouge mon cul de droite à gauche et d’avant en arrière pour faire balancer mon clito et mes petites figues, ” Vas y ma pute, fais le bander ce gros porc “.
Je reste comme ça à m’exhiber à poil sous les sarcasmes de ma Maîtresse. Je continue mon exhibition forcée tandis que ma Maîtresse répond à plusieurs coups de téléphone car elle a passé une annonce et le téléphone sonne souvent depuis. J’entends des bribes de conversations, ” Un gang bang ? A quelle heure ? 19h00, d’accord , elle sera dispo ” ou encore ” Ah, avec un chien je demande plus cher…. ah dans ces conditions c’est oui tout de suite…..oui à vendredi, au revoir “.
Je sens que ma semaine va être bien remplie, et pas que ma semaine.
A SUIVRE…..
Les jours et les nuits se ressemblent, je tapine pour ma Maîtresse, elle me dépose à proximité des lieux de rencontres sans jamais se montrer. Je dois souvent faire quelques centaines de mètres en talons aiguilles dans des terrains accidentés ou bien elle ma lâche dans une rue réputée pour ça et revient me chercher après mon travail, ” Va bosser ma pute et rapporte moi plein d’argent “.
Je fais quelques extra dans les transports en communs, c’est toujours ça de pris avant d’arriver sur place, ensuite je fais le trottoir. avec les autres putes mais toujours avec le cul et le clito à l’air.
Le dimanche matin je travaille au bois. Il y a un parcours sportif à l’intérieur, des joggeurs qui me connaissent bien et savent dans quel endroit me trouver pour se soulager. Les beaux jours sont de retour et je retrouvent aussi quelques ” Collègues de travail “.
Un voyeur nous regarde et se branle tandis que j’en prends plein la chatte. L’homme se retire et souille mes fesses de son sperme, ” Tiens Nathy, voilà mon cadeau ” dit-il en riant. J’invite le voyeur à venir me baiser mais…..
Le pauvre venait d’éjaculer.
Je me nettoie les fesses et j’attends que ma Maîtresse vienne me chercher vers midi.
A SUIVRE …….
Elle s’appelle Olga, c’est ma Maîtresse trav avec une belle queue. Elle est sévère, vicieuse et perverse, elle ne ménage pas ses efforts pour me rabaisser et m’humilier, en privé ou en public. Elle m’utilise comme un objet sexuel pour assouvir ses fantasmes, se vider les couilles, me faire tapiner et lui rapporter de l’argent, elle passe des annonces dans les journaux spécialisés pour me louer à la journée ou à la semaine. C’est elle qui choisit mes tenues et elles sont toujours très provocantes, souvent ras du cul et parfois même fesses nues. Je m’occupe de la bonne tenue de l’appartement et quand ma Maîtresse reçoit des invités, je dois revêtir ma tenue de soubrette fesses nues, en signe de soumission à ma Maîtresse, elle leurs proposent même de me baiser. Elle m’emmène dans divers endroits, souvent peu recommandables pour faire la pute et ramener de l’argent, elle dit que je ne suis bonne qu’à ça de toute façon.
Bien sûr qu’elle me baise bien, et même plusieurs fois par jour. A force d’être presque constamment le cul et le clito à l’air, on finit par me reconnaître dans le milieu du sexe.
Oui je suis sa putain. Lorsque je rentre à la maison, je dois lui présenter la recette du jour ou de la nuit, elle met l’argent dans un coffre et viens vers moi, ” T’as bien travaillé, vas te laver le cul, j’ai envie de te baiser “, ma journée n’est pas complètement terminée. Le lendemain, comme tous les matins, je suce ma Maîtresse et j’avale son sperme, ” C’est bien ma pute “, puis elle me dit qu’aujourd’hui je vais travailler entièrement à poil. Elle me conduit vers une nouvelle destination à une cinquantaine de kilomètres.
Nouvelle humiliation, me faire baiser nue dans les toilettes d’une station service. Arrivés sur place, je descends de la voiture et me dirige rapidement vers les toilettes de la station, une main devant, une main derrière mais pas assez rapidement car un couple qui s’arrêtait faire le plein d’essence m’aperçoit. Je rentre dans les toilettes hommes où ça sent bien la pisse. Je me crois sauvée mais le couple m’a suivie. Je leurs indique les tarifs. La femme semble être une grosse cochonne et dit à son mari ” Vas y mon chéri, je te l’offre, elle jette les billets dans l’urinoir et son mari pisse dessus, ” Tiens salope, tu iras les récupérer ” dit-il en riant puis il s’intéresse à mon cul.
Il me laboure le cul pendant que sa femme prend des photos puis il finit par jouir sur mes fesses. Le couple s’en va, ils préviennent les autres clients avant de quitter la station service, ” hé, si vous voulez il y a une pute dans les toilettes hommes “. Je n’attends pas longtemps avant de recevoir de la visite.
Après avoir servi de vide couilles et d’urinoir, Maîtresse Olga revient me chercher vers les 02h30 du matin, je lui tend la liasse de billets, ” C’est bien ma pute, allez on rentre “.