C’est mon dernier jour dans cette maison de débauche sexuelle, il me reste encore quelques pièces à nettoyer d’ici la fin de la journée. Je me dis que je vais peut-être pouvoir enfin travailler en paix mais encore une fois je me trompe. Je tombe sur cette black qui m’avait reçue le premier jour, elle était en train d’astiquer sa trompe d’éléphant sur le canapé. ” Approchez et venez me faire jouir ” me lance t-elle. Elle m’explique ses préférences.
J’enfonce la banane à fond et branle son énorme bite jusqu’à la faire éjaculer..
Je me mets à quatre pattes pour essuyer le sperme sur le sol quand deux autres créatures font leur entrée et s’en donnent à cœur joie.
Oui j’avale et alors ?!! J’en prends plein la bouche et plein la chatte avant de me diriger vers le salon, dernier endroit que je dois nettoyer.
Je ne vois pas arriver cette Carmen et je sens quelque chose de gros et dur forcer violemment le passage de ma chatte déjà bien lubrifiée de tout à l’heure.
M’attrapant par les hanches elle me laboure les entrailles et finit par gicler en moi. Je termine de passer l’aspirateur dans le salon, je le range dans son placard et je vais voir la patronne pour lui annoncer le fin de ma semaine. Je la trouve avachie comme une truie sur le canapé, toujours la bite à l’air et fumant une cigarette.
Pffffff !!!
J’ai juste le temps de retirer sa bite de ma bouche avant qu’elle jouisse et souille sa robe noire de son foutre, bien fait pour elle la salope.
Je prends l’enveloppe et je vais me changer avant de partir. J’arrive chez Fabienne qui se renseigne, ” Alors, ça s’est bien passé Nathy ? “, je réponds que oui sans donner de détails, elle ouvre de grands yeux en voyant la liasse de billets que je sors de l’enveloppe, ” Hé ben ma salope, t’as pas du chômer là bas !! “, elle continue, ” Jean-Louis est absent pour le moment, il te recevra plus tard, en attendant, avec cet argent tu pourras t’acheter des tenues de pute “, je lui réponds ” Ah bon ? c’est pute que je vais faire ? C’est qui Jean-Louis ? ” et elle, ” Avec tes diplômes scolaires, je vois pas ce que tu pourrais faire d’autre ma belle. Quant à Jean-Louis, c’est ton futur…….”patron”.
Le lendemain nous faisons les boutiques chic, lingerie sexy, manteau, jupe, etc… Nous rentrons les bras chargés de sacs et nous commençons les essayages, excitées comme des puces.
Trois jours après, Fabienne enfile son manteau et va chercher le courrier, elle revient avec une lettre qui provient du ” Jardin d’Eden “, elle l’ouvre et me la lit à haute voix.
” Espèce de salope, je comprends mieux le montant de l’enveloppe ! ”
FIN ( hi hi hi !! )