Chaque lundi je vais faire les courses pour la semaine et le weekend. Ce lundi là, je descends dans le parking souterrain du centre ville qui possède une station de lavage pour nettoyer ma voiture.
Mon petit bolide en avait bien besoin.
Admirant le résultat, je ne vois pas le vieux derrière moi qui devait me mater depuis un moment, il finit par m’aborder.
Oui, le parking sert aussi de lieu de rencontres et les ” filles de joie ” y sont présentes jour et nuit Il se pourrait que vous me trouviez un de ces quatre en plein ” travail ”
Mais ça c’est une autre histoire lol ! La conversation s’engage donc entre le papy et moi.
Le papy me parait sympa, je note qu’il garde ses mains dans ses poches et je pense qu’il a du les enlever à l’intérieur de son pantalon pour pouvoir se masturber en toute discrétion Je ne suis pas pressée et j’accepte de passer un petit moment coquin avec le papy. Je me penche contre ma voiture et papy commence à avoir chaud
Il ne se fait pas prier et retrousse ma jupe, je baisse mon string, il me caresse les fesses, les pétrit, les malaxe, je sens même un de ses doigts me titiller la rondelle, cochon !
Je me retourne et le laisse découvrir mon petit ” extra “. Agréablement surpris, le papy prend mon clito entre ses doigts et commence à le branler. Je me laisse faire, l’encourageant à continuer.
Il me branle de plus en plus vite et je sens mon plaisir arriver.
Je me retourne une fois de plus et le papy commence à frotter sa bite sur mes fesses et entre mes fesses, je l’entends gémir de plaisir, il m’insulte. Le spectacle attire des ” collègues de travail “, ce qui a pour effet de l’exciter encore plus.
Je l’excite verbalement et il finit par tout lâcher dans un râle de jouissance, je sens son foutre chaud couler sur mes fesses.
M’ayant bien sali le cul, papy se rhabille en me disant que la prochaine fois il me la mettra dans le cul, je lui dis de passer samedi soir prochain. Je m’essuie les fesses avec un mouchoir en papier et je continue ma journée.
Voilà une bonne journée qui commence
FIN
Hier j’ai pris le bus pour aller en ville, il y avait du monde et on était un peu serrés. Au bout de quelques minutes j’ai senti que quelqu’un essayait de soulever ma jupe, j’ai passé ma main libre derrière moi pour l’empêcher. Trente secondes après, il recommence mais cette fois il caresse mes cuisses en remontant vers mes fesses sous ma jupe. J’arrive à l’arrêter mais quelques secondes plus tard il insiste et soulève ma jupe pour peloter mes fesses à travers ma culotte.
D’une main ferme il me malaxe et me pétrit les fesses. Lassée de me défendre, je décide de laisser faire ce pervers en espérant qu’il en termine rapidement mais je me trompais et je sens sa main se glisser sous ma culotte ainsi qu’un doigt entre mes fesses.
La jeune femme à coté de moi s’aperçoit de la situation mais n’ose rien dire. L’homme continue son exploration et je sens ma culotte qui commence à descendre sur mes cuisses.
La jeune femme me regarde en se demandant si je vais me laisser faire sans réagir. L’homme continue de descendre ma culotte et j’ai maintenant les fesses à l’air, toujours sous le regard médusé de la jeune femme, il aperçoit mon tatouage et me murmure à l’oreilleoreille ” Salope, donne moi ta culotte “. Celle-ci continue de descendre doucement jusqu’à atteindre mes chevilles.
L’homme s’accroupit et me soulève les pieds pour récupérer ma culotte sous le regard incrédule de la jeune femme puis il la met dans sa poche.
Sa main s’aventure entre mes cuisses jusqu’à rencontrer mes boules et mon clito, l’homme est d’abord surpris puis il commence à malaxer mes boules et il prend mon clito entre deux doigts pour le faire durcir, de temps en temps je sens son pouce s’introduire dans ma rondelle. Je sens le souffle chaud de l’homme sur ma nuque, sa respiration s’accélère et il me murmure à nouveau à l’oreille ” Petite pute, je vais te faire jouir “.
Mon clito durcit, il le branle de plus en plus vite et enfonce un deuxième doigt dans mes fesses, je me laisse faire, la jeune femme n’en croit pas ses yeux et finit par détourner le regard tandis que les doigt de l’homme branlent à la fois mon clito et ma chatte de plus en plus vite.
Je sens que je vais jouir, l’homme s’en aperçoit, ” Vas y salope, jouis pour moi ” me dit-il à l’oreille. Je finis par gicler dans sa main, il me retourne pour s’essuyer sur mes cuisses.
Il me laisse enfin tranquille, je redescends ma jupe et quitte le bus au prochain arrêt.
FIN.
Ca leurs a pris comme ça, à Fabienne et Jean-Louis, ils ont décidé de me punir pour une raison inconnue. Fabienne me propose d’aller visiter un endroit soit disant super pour faire des rencontres. Arrivées sur place, je découvre une ancienne gare désaffectée. A l’intérieur, Fabienne me suggère de me déshabiller pour faire quelques photos, pourquoi pas. Je me retrouve nue et Fabienne me pousse contre un mur en sortant des liens de sa poche ainsi qu’une barre d’écartement télescopique de son sac. Je lui demande ce qui lui prend mais elle m’attache au mur et m’écarte les jambes pour installer la barre, je me retrouve offerte comme une soumise. Fabienne me caresse les fesses puis me les claque durement, je lâche un cri, puis elle prend mes couilles dans sa main et commence à serrer, ” on va bien s’amuser tu vas voir ” lance t-elle en me claquant encore les fesses. Elle s’éloigne et se dirige vers la porte d’entrée, j’entends des conversations et des rires, je tourne la tête pour voir qui c’est. Il y a des femmes et des hommes, je me demande ce qu’il va m’arriver. D’autres arrivent encore, il y a bientôt une vingtaine de personnes à l’intérieur, les hommes se mettent nus tandis que les femmes se changent et enfilent des uniformes ou des tenues de salopes. Fabienne fait partie du lot et revêt une tenue de Dominatrice avec une cravache en accessoire, elle approche une chaise et se place derrière moi, je sens le bout de sa cravache me caresser les fesses et je commence à comprendre ce qu’il va m’arriver. Fabienne inscrit quelque chose sur mes fesses à l’aide de son rouge à lèvres mais je ne peux pas voir ce qu’elle écrit, puis la séance commence.
Elle s’amuse à tapoter mes couilles avec sa cravache.
Je sens des mains me tripoter l’entrecuisses et les fesses puis les claques commencent à fuser. On me met un collier et une laisse.
Mes fesses commencent à me faire mal mais ça ne leurs suffit pas.
Fabienne ne rate rien du spectacle.
Le cul en feu, je gicle dans la main de la femme.
La machine ? Quelle machine ? Je ne tarde pas à le découvrir, j’entends des bruits de matériel derrière moi et bientôt quelque chose qui force l’entrée de ma chatte. C’est froid et gros.
La machine se met en route et le gode commence ses va et vient, je gémis, la femme augmente un peu la vitesse ce qui m’arrache des cris.
J’ai la chatte défoncée mais personne n’en a rien à faire et Fabienne me cravache à nouveau le cul tandis que Jean-Louis fait son entrée, toujours muni de sa caméra. Vas y mon cochon, régale toi. Je croyais qu’ils en avaient terminé avec moi mais je me trompais. On enlève la machine, j’ai la chatte bien dilatée, Jean-Louis fait un gros plan de mon trou béant. J’entends parler derrière moi, je vais pour tourner la tête mais Fabienne me gifle, ” regarde devant toi salope ! ”
Après le douzième j’ai arrêté de compter. Du foutre plein la chatte, sur les fesses et les cuisses on me détache enfin. Fabienne ramasse mes fringues et les met dans un sac, m’interdisant de me rhabiller, ” Tu feras le voyage retour à poil salope “. Je monte entièrement nue dans la voiture de Jean-Louis, le cuir du siège chauffé par le soleil brûle mes fesses déjà écarlates. ” Alors salope, ça t’a plu ? Ah ah ah !! Vendredi je t’emmène chez René, un vieil ami à moi, il est agriculteur, tu verras il est sympa “.
Dans la bouche de Jean-Louis, le mot sympa peut signifier beaucoup de choses !
A suivre hi hi hi !!
Oui, elle et moi sommes des putains et alors ? Si c’est ça qui nous plait, se prendre des bites dans le cul et dans la bouche c’est notre droit non ? Et ce n’est pas Jean-Louis qui dira le contraire Nous ne sommes plus de première jeunesse mais notre expérience et notre savoir faire font que nous sommes très demandées elle et moi.
On ne fait pas uniquement le trottoir, on profite de nos petits boulots et de nos sorties privées pour se faire un peu d’argent de poche hi hi hi Dans les hôtels c’est bien payé mais on tombe parfois sur des cas.
Comment dire non à une telle invitation au sexe ?
Je sens sa bite durcir dans ma petite main.
Il ne faut pas me le dire deux fois hi hi !!
Pour un petit billet de plus hi hi !!
Hummmmmm quel délice.
Pendant ce temps là cette salope de Fabienne se réchauffe comme elle peut avec des minets. Elle a bien raison, c’est bien plus agréable de se faire baiser au chaud
Allez salope, fais toi baiser.
Il faut tenir ses promesses Fabienne Celle là, quand elle ne baise pas elle pense qu’à dormir.
Avec un si beau soleil, ça serait gâcher
A suivre hi hi hi
Oui et alors, vous n’aimez pas les putes ? Hum je suis sûre que si elles ont un petit extra entre leurs cuisses, je me trompe ou pas ? J’ai des ami(e)s, je travaille soit de jour soit de nuit, il faut bien dormir un peu tout de même Le sexe est ma raison de vivre, sous toutes ses formes et pratiquement sans tabous, alors Mesdemoiselles les pucelles et les vierges effarouchées ne lisez pas la suite. Nounourse mon régulier, Fabienne ma copine de travail et Jean-Louis dit ” JL ” notre ” patron ” si je puis dire sont des gens formidables et nous nous entendons à merveilles tous les quatre. Fabienne et moi travaillons pour le compte de JL et il nous laisse quelques libertés pour nous faire des petits extra, enfin… vous voyez de quoi je veux parler
Un peu d’argent de poche si vous voulez
Quel brave homme. Notre petite entreprise, pardon… SA petite entreprise commence à prendre de l’ampleur grâce au travail de Fabienne et moi qui sommes des bonnes travailleuses. Le moral est donc au beau fixe et notre petite ” famille ” se porte bien du moment que l’argent rentre dans la caisse. Jl sait prendre soin de Fabienne et moi et quand il fait froid, nous au moins on n’a pas froid au cul sur le trottoir. Voici quelques souvenirs qui j’espère vous feront prendre conscience des liens qui nous unis
Oh que oui c’est mieux qu’un gode hummmm
Oui je suis la petite salope de Nounourse mais aussi la petite pute de JL ou bien l’inverse, cela dépend
Quelle poésie, j’adore !
Hé oui mademoiselle, jalouse hein ! hi hi hi !!
JL est moins poète, pour lui je ne suis qu’un vide couilles, un trou à bites et un moyen de lui rapporter de l’argent mais j’aime être traitée de cette façon, pute et soumise à la fois, d’ailleurs mes fesses doivent toujours être visibles et la culotte interdite à part un mini string quelquefois mais cela reste rare. Il lui arrive d’organiser des soirées pendant lesquelles il me filme pendant que je me fais baiser par ses ami(e)s, ce cochon ne se sépare presque jamais de sa caméra.
Avec Fabienne nous travaillons en solo ou bien à deux. Nous arpentons les trottoirs en quête de clients ou bien il fait appel aux petites annonces pour louer nos services, les clients ne sont pas toujours des hommes hi hi hi !!
C’est vrai que JL ne lésine pas sur la fourrure mais en haut seulement, nos culs et nos clitos doivent être visibles par les clients été comme hiver. Il n’a pas tort car ces derniers apprécient notre petit extra et savent qu’ils vont pour s’adonner à la sodomie.
Brave Fabienne J’aime travailler avec elle, on se marre bien même si les clients ne sont pas toujours aimables.
Elle et moi on a commencé à avoir une bonne réputation, pour le plus grand bonheur de JL
A SUIVRE hi hi hi hi !!!!!! -;) -;)
Rien ne vaut une petite balade lors d’une journée ensoleillée surtout lorsque c’est mon jour de repos hebdomadaire. Je décide d’appeler Amandine, une jeune étudiante salope rencontrée dans un bar un soir où je travaillais et avec laquelle j’avais sympathisé. On décide d’aller bronzer nue sur la côte mais en chemin la voiture d’Amandine nous lâche et nous sommes forcées de marcher en espérant trouver une station service ou un garage. Nous marchions depuis une bonne demie heure sous le soleil lorsqu’une voiture se fait entendre, j’use de mes charmes en espérant qu’elle s’arrête pour nous emmener.
Mission accomplie pour moi, la voiture s’arrête avec à l’intérieur deux hommes d’une trentaine d’années.
J’en rajoute un peu, histoire de bien ferrer le poisson
Au moins la proposition avait le mérite d’être claire. De nos jours rien n’est gratuit. L’un des deux hommes semble excité en voyant ma culotte blanche et je lui donne satisfaction
Le marché se conclut rapidement et nous montons dans la voiture.
Nous faisons connaissance, surtout mon compagnon de route qui a les mains baladeuses
Amandine explique à notre chauffeur qu’elle est étudiante en droit pour faire avocate plus tard et que je travaille dans une start up avec Fabienne et Jean-Louis, des amis à moi.
A ces mots, les deux hommes comprennent à qui ils ont à faire et Paulo se fait de plus en plus pressant avec moi à l’arrière
Bravo Amandine, maintenant ils en sont sûrs
Il faisait déjà chaud dans la voiture mais la température continuait de grimper
Je me retrouve à poil derrière avec Paulo qui en fait autant et commence à jouer avec mon clito. Juju arrête la voiture dans un petit coin et tout le monde descend. Je commence à m’occuper de la bite de Paulo.
Juju se mets à poil à son tout devant Amandine et agite son énorme sexe tel une rosette de Lyon devant Amandine qui n’en croit pas ses yeux.
” Tu vas d’abord la sucer et ensuite je te la mettrai dans le cul, un marché est un marché n’est ce pas ? Allez salope, au travail ah ah ah !! ” lâche Juju. Amandine n’a pas d’autre choix que lui pomper la queue.
J’en prends plein la chatte avec Paulo qui redouble d’efforts pour me la défoncer tout en continuant de branler mon clito par devant et je sens mon plaisir monter.
Amandine s’exécute, lui offrant sa chatte et son petit cul, penchée sur la capot de la voiture, jambes écartées pour recevoir l’énorme engin de Juju qui ne tarde pas à trouver l’entrée des artistes
Les claques fusent sur ses fesses et sur le mien, les deux hommes s’en donnent à cœur joie, nous gémissons et crions toutes les deux.
Je jouis la première tandis que Juju pilonne le cul rougi d’Amandine sans ménagement.
La pauvre reçoit les jets de sperme de Juju dans son cul alors qu’elle avait précisé qu’elle ne voulait d’éjac interne. Moi par contre j’adore ça et Paulo ne s’en prive pas, m’inondant la chatte en me traitant de tous les noms d’oiseaux.
Puis il prend ma chatte pour un urinoir et se soulage la vessie à l’intérieur.
Amandine nettoie la bite de Juju avec sa langue et on se rejoint tous pour une petite photo souvenir.
Pendant que Paulo prend la photo, Juju s’approche de mon cul, je crois qu’il a envie de le tester lui aussi
Je m’appelle Louisa, j’ai 26 ans et je suis l’une des disciples de Maîtresse Nathy, une Travestie Dominatrice qui possède un manoir dans lequel elle forme ses futures Dominatrices avec autorité et professionnalisme. Tantôt sévère, tantôt douce, elle est très respectée par ses élèves. Je suis entrée au manoir voici maintenant 3 mois et je termine ma formation de soumise avant d’entamer ma formation de Dominatrice le mois prochain. Maîtresse Nathy m’a prise sous son aile durant toute cette période, faisant de moi sa soumise attitrée, abusant sexuellement de moi ce qui provoque à la fois la jalousie et les moqueries de mes aînées, ces dernières étant déjà au stade de Dominatrices 1er Niveau. Nous sommes logées, nourries et blanchies contre une contribution de 500 euros par mois, le reste des revenus du manoir provient des sommes versées par des femmes désirant faire dresser leurs époux pour en faire des lopettes bien obéissantes ou bien par des hommes pour faire de leurs épouses des soumises, voire même des putains. Mais notre Maîtresse a aussi une passion, allez chasser sur ses terres, non pas le gibier que l’on peut rencontrer habituellement mais plutôt le gibier à deux pattes, j’entends par là les hommes et les femmes qui ont pris pour habitude de prendre ses bois et ses forêts pour des lieux de drague et de fornication, ce qui la met dans une colère noire. Deux fois par semaine elle organise une chasse avec ses Dominas en herbe pour capturer un ” spécimen ” comme elle dit et l’offrir à ses disciples pour qu’elles se fassent la main. Ce jour là, j’étais autorisée pour la première fois à participer à cette “chasse” car c’est bien de cela qu’il s’agit. Chacune des apprenties Dominas ont un rôle bien précis et ce jour là, la chance était de notre coté.
Un homme entièrement nu attends de rencontrer une partenaire, il ne sait pas encore que celle-ci l’a déjà repéré et qu’elle n’est pas exactement ici pour ce qu’il croit. La tactique de chasse est bien rodée et tout va aller très vite.
L’homme ne se doute de rien et le piège se referme vite sur lui. Deux amazones sortent d’abord de leurs cachettes.
Changement de ton, l’homme n’a pas l’intention de se laisser intimider mais c’est sans compter sur la détermination des Dominas.
D’autres sortent de tous les cotés à la fois et s’empare de leur proie, lui ligotant rapidement les poignets. L’homme se débat en vociférant des insultes mais comprend que ses efforts pour se libérer sont inutiles, il est alors attaché à un arbre, livré aux chasseresses, fières de leur capture.
L’une des filles broie les couilles du malheureux pour le rendre plus docile mais sans succès, Maîtresse Nathy finit par arriver.
Félicitant ses filles, elle palpe les couilles du ” gibier à deux pattes ” et prend son pénis à pleine main pour en mesurer la grosseur. La Domina surprend mon regard.
Emmené de force, complètement à poil, vers la camionnette, nous prenons le chemin du retour vers le manoir où les ennuis vont vraiment commencer pour notre nudiste pervers.
Ce matin, Jean-Louis m’apprend que plusieurs personnes on encore répondu à son annonce mais cette fois ils me veulent pour la semaine. ” Dis donc, ça marche bien le bouche à oreille ma salope !! Prépare toi une petite valise, tu pars demain midi ah ah !! “. Il pense déjà à l’argent que je vais lui rapporter. Je me rends chez des pervers en tous genres, Jean-Louis a fixé les tarifs selon les prestations demandées par les clients, sans marchandage possible, si on veut abuser de sa putain, il faut allonger la monnaie.
Oui, c’était bien marqué ” cul nu ” dans l’annonce merci Jean-Louis.
Ma pauvre, si tu savais.
La pauvre femme n’a jamais découvert la vérité. La semaine suivante je me rends chez une domina perverse qui me présente comme son chien à ses ami(e)s qui n’ont pas hésité à me baiser. Une semaine dans cette niche avec juste une couverture, salope.
Elle me promenait 3 fois par jour et s’amusait à me goder la chatte.
Un couple de transsex qui se servait de moi comme urinoir.
Et pour finir, une famille de dépravés.
Salope.
Bien Madame, bien Madame, pfffffff grosse salope.
Les semaines passent, l’argent rentre, mais ce que ne savait pas Jean-Louis c’était que je me gardais un peu d’argent dans son dos pour me payer des tenues et accessoires de Dominatrice, ma double personnalité.
FIN.
Jean-Louis a décidé de me louer, à la journée ou à la semaine, en soubrette ou en lopette soumise, il a passé une petite annonce avec photos sur un site porno. Les réponses ne tardent pas à arriver et il choisit celles qui sont les plus salaces et vicieuses. Je faisais le ménage à poil dans l’appartement quand il me lance ” Nathy, prépare ton cul ma salope, tu vas avoir du boulot !! “. Inutile de vous préciser de quel genre de travail il s’agit. Je prépare deux tenues de soubrette pour demain matin. Le lendemain je commence par les rendez-vous d’une heure minimum et qui peuvent parfois aller jusqu’à trois heures, cela dépend du ou des clients. J’en vois de toutes les couleurs et mes orifices ne sont pas épargnés.
Les rendez-vous se succèdent, j’en prends parfois quatre dans une seule journée.
Hommes, femmes, transsex, tout le monde profite de mon cul et de ma bouche.
Certains clients sont peu communs, comme cette famille de dépravés chez qui j’avais passé la soirée.
J’ai vite réalisé chez qui j’étais tombée ce soir là.
Bien fait pour toi salope. En attendant, cette mal baisée commence à se venger sur moi et à me ravager la chatte jusqu’à l’arrivée de son mari.
Chouette famille non ?
Je rentre vers 20h30 un peu crevée, Jean-Louis est vautré dans le canapé en train de mater un film X, sa bite à la main. ” Alors ma pute, ça s’est bien passé ? Fais voir combien tu rapportes, ah ouais pas mal du tout dis donc, tiens suces moi un peu, ensuite t’iras faire la bouffe j’ai faim. ”
On mange, on regarde un film X, il me baise et on va se coucher. Vivement demain.
A SUIVRE….
Audrey est une petite peste de 22 ans, nous vivons ensemble depuis 2 ans. Toujours à la recherche d’un emploi, elle fréquente plus les sites de sexe et de chat que les sites d’offres d’emplois et cette salope a pris pour habitude de baiser avec mes partenaires préférés dans le plus grand secret. Ce jour là elle est encore sur son ordi.
Depuis qu’elle sait que Nounourse me baise, elle n’a qu’une seule envie c’est de me le piquer et ce cochon de Nounourse a la bite qui frétille à chaque fois qu’il vient à la maison pour dîner ou prendre l’apéro et qu’il voit Audrey. Cette salope s’habille ultra court à chaque fois avec des décolletés provocants, sur son front on peut lire ” Baise moi ” .
Cette salope est en train de le chauffer en se titillant le bouton.
Quand il est excité, Nounourse passe en mode cochon grossier et vulgaire, ce qui a l’air de plaire à cette petite pute d’Audrey.
Cette salope avait tout prévu et se donne en spectacle.
Audrey est vierge du cul et je pense qu’elle se souviendra du passage de Nounourse dans l’entrée des artistes hi hi !!
Et voilà, le rendez-vous est pris, elle sait que le mercredi je suis absente.
Ben voyons. Quand on est fatiguée on va se reposer Audrey. Habillée comme ça en plus.
Oui ma belle salope, suce le bien et tu verras cet engin qui va te dépuceler le cul. Bonne chance Audrey hi hi hi !!
FIN